Effet Magnus-Pagès (15 février 1958, France)
L'effet Magnus électro-magnétique
Forces coulombiennes
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Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning
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L'effet Magnus électro-magnétique
C'est l'augmentation de la pression (ou de la température) qui confère au gaz son énergie cinétique. Dans le cas de l'électron, c'est le rayonnement cosmique gravifique (ou l'énergie cosmique) qui confère à l'électron son énergie du vide.

Il suffit d'orienter les spins (rotation sur lui-même) des électrons de façon que ceux-ci soient perpendiculaires au plan de radiation locale et de les faire se mouvoir dans le sens convenable pour bénéficier de l'effet Magnus électro-magnétique.

Nous obtiendrons ainsi une dissymétrie de leur pression de radiation, dissymétrie qui produira la résultante de sustentation recherchée.

La matière est composée de particules négatives et de particules positives. La positivité et la négativité d'une particule sont uniquement dues à leur sens de rotation. Cette affirmation constitue, d'ailleurs, la négation du principe de parité.

Sous l'action des deux éclateurs, des électrons vont charger le disque et, par le jeu des attractions-répulsions de ces électrons vis-à-vis des deux électrons, le disque entraîné, entrera en rotation.

Une atmosphère d'électrons s'installe sur le disque et, du fait de la rotation et de présence d'un champ magnétique, ces électrons vont voir leur spin se placer parallèlement au disque, tant dans la charge supérieure du plateau que dans sa charge inférieure.

Les électrons étant placés convenablement en ce qui concerne leur sens de rotation propre et, de plus, étant en mouvement, un effet Magnus électro-magnétique, un effet Magnus-Pagès identique à celui que nous avons décrit prend naissance, qui provoquera la sustentation et enlèvera le disque.

Si l'on change les pôles de l'éclateur, le disque tournera dans l'autre sens. Si nous l'entraînons à la main en sens inverse, avant d'amener le courant dans les éclateurs, le disque se ralentira, puis repartira dans le sens convenable, prendra sa vitesse et, finalement, s'envolera.

Forces coulombiennes
Les forces coulombiennes qui s'exercent sur les charges électriques, tendent à se repousser si les charges sont de même polarité.

Rappelons que la Terre est chargée négativement et, par conséquent, il suffira de charger un corps négativement pour créer une répulsion extrêmement importante.

C'est cette propriété qu'utilisent les araignées pour voyager à faible "coût", sans dépenser de l'énergie.

Toutefois, la capacité d'un corps de conserver une charge est très faible. Pour celle d'un seul farad, correspondant à un coulomb, il faudrait disposer d'une sphère matérielle ayant à peu près 18 fois les dimensions de notre globe terrestre. Marcel Pagès estime à 600 000 coulombs, la surcharge obtenue avec la suppression ou l'apparition d'un seul électron par atome d'une masse équivalente au poids d'une molécule. Il pense utiliser les effets des champs magnétiques tournant à des vitesses approchant celle de la lumière pour pouvoir parvenir à "déshabiller" les couches périphériques des atomes en créant une résultante de charge positive, soit en inversant le sens, en créant une charge négative.

Pour enlever un engin important, il faudrait le charger à un potentiel de l'ordre de plusieurs millions de volts. Marcel Pagès imagine un disque autour duquel on dispose trois bobines d'excitation à 120 degrés l'un de l'autre, soumis à un courant à très haute fréquence. Une forme des bobines en fer à cheval venant enserrer le disque entre ses mâchoires, le champ passera alors de haut en bas, dans un seul sens. Le disque va être soumis à un champ tournant, toujours dans le même sens et, selon les lois électroniques, il y aura déplacement des électrons, avec concentration au centre. Si le champ tourne à la vitesse de la lumière, on parviendra à multiplier la capacité de disque, par plusieurs centaines de millions. Nous disposons alors d'une masse électro-négative, puisqu'il se trouve une quantité beaucoup plus grande d'électrons que selon la normale.

Nous retombons alors dans le mécanisme de répulsion statique exprimé plus haut, mécanisme qui introduit des forces de répulsion absolument fantastique. Mais ces charges énormes, étant donné leur potentiel au point de vue voltage, se dissipent dans l'atmosphère. Il convient donc, soit de le entretenir, soit, préférablement de les maintenir par un diélectrique approprié.

En supprimant ou diminuant la charge, l'engin redescendra et, en rechargeant le disque, l'ensemble remontera. De plus, l'air environnant sera ionisé au contact d'une charge de cette nature, en ce sens que ses particules changeront de position. La force de répulsion propre à l'engin va se produire sur les particules de l'air ambiant et l'engin sera environné d‘une bulle de vide relatif qui fait que le déplacement en atmosphère se fera sans aucun frottement, sans aucune traînée directe, sans aucune élévation de température.

Mieux, les occupants d'un tel engin seront eux-mêmes accrochés au champ et ils pourront être propulsés avec l'appareil, à des vitesses extrêmement importantes sans aucune gêne, affranchis qu'ils seront aux mécanismes d'accélération et de décélération si affligeante pour un pilote d'avion rapide.

L'homme n'a rien à craindre d'un champ électro-statique. Le milieu de référence des occupants ne sera plus la Terre, mais le centre de l'engin. En somme, l'engin deviendra leur planète locale et, de même que nous ne souffrons pas des rotations et déplacements de notre Terre, les passagers ne souffriront aucunement des modifications de trajectoire de l'engin.

Dans ces conditions, l'homme pourra supporter sans dommage des accélérations de plus de 100g pendant cinq à six secondes, soit plus qu'il n'en faut pour modifier très brutalement une trajectoire. Nous nous trouvons à devant les manifestations jugées bizarres un peu partout il y a quelques années.

Pour parvenir à de tels résultats, il faut obtenir une matière ionisée, c'est-à-dire supprimer un ou deux électrons à chacun des atomes de cette matière. Par exemple, en supprimant l'électron de l'hydrogène _qui comprend un électron et un proton par atome_ on obtient une charge positive de 600 000 coulombs pour 11,2 litres d'hydrogène.

La matière a ainsi des propriétés extraordinaires, sitôt qu'on lui enlève un électron par atome. Pour un poids atomique donné, si l'on veut enlever tous les électrons, il faudra multiplier cette charge de 600 000 coulombs par le poids atomique. Un métal ayant un poids atomique de 23 aura, dans ces conditions, une charge de 600 000 x 23 coulombs. Bien sûr, s'il sera facile d'enlever les électrons périphériques qui ne sont pas très accrochés; il sera plus difficile d'atteindre les électrons intérieurs et la technique des champs tournants à la vitesse de la lumière sera alors nécessaire.

Il faudra s'attendre évidemment à des problèmes et des mécanismes assez complexes, mais rien n'impose de "déshabiller" d'un seul coup toute la matière. On pourra travailler cette matière avec le champ tournant pendant plusieurs heures, de façon à chasser progressivement tous ses électrons.

Complément d'informations
REFERENCES
Aviation Magazine Journal régional N°245 15 février 1958 (by Axel Mazuer)
L'Indépendant Journal régional lundi 02 juin 1958 (by Axel Mazuer)
Point-de-vue – Images du Monde Journal régional 07 février 1958 (by Axel Mazuer)
Soucoupe volante du Docteur Pagès Actualités Méditerranée ORTF et INA - 29 avril 1958 (by Axel Mazuer)

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