En 1886, une expédition menée par l'Institut Smithsonian s'aventure sur l'île de
Pâques (ilôt de 150 km²) située à 3 700 km de l'Amérique du Sud,
à 4 000 km de Tahiti, en plein cœur de l'océan Pacifique. Trois remarquables croquis,
jamais publiés, seront dessinés lors de cette belle aventure ...
Lorie Kash, excellent chercheur du XXIe siècle, constamment à la
recherche de vestiges du passé, découvre un certain nombre d'artefacts, dont notamment
les trois photographies, images provenant de différentes parties de l'île de Pâques.
Ces images représentent les esquisses faites du terrain, par les explorateurs de l'Institut
Smithsonian, datant de l'an 1886. Ce qu'elles dessinent, sont d'une ampleur exceptionnelles et vraiment
étonnantes.
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A la vue de la plate-forme précédemment citée, les explorateurs d'antan de
l'Institut Smithsonian, ont l'idée d'imaginer qu'il devait s'agir certainement des vestiges
(socle ou base) d'une structure pyramidale.
La localisation de cet endroit n'est nullement mentionnée dans l'article rédigé
en 1886. Plus étonnant encore, il semblerait que 120 ans plus tard, plus aucunes traces de ce qui
devrait ressembler à un assemblage de pierres ou de rochers ne soit visible.
C'est comme si ... les membres de l'Institut Smithsonian ont cherché à occulter
(à cacher, voire même à détruire), leur trouvaille. Cette relique du passé
a purement et simplement disparu de la surface de l'île.
Fort heureusement, le remarquable chercheur Lorie Kash, mettra la main sur cette somptueuse
illustration.
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Ressemblant à une colonne de soutènement d'une toiture, on ne peut s'empêcher
de penser que cette structure en forme de colonne évoque une statue, de type caryatide (figure
féminine qui porte le toit de l'édifice) ou bien un atlante (figure masculine qui porte
le toit du monde).
Deux grandes civilisations, la civilisation grecque ainsi que la civilisation égyptienne,
ont eu recours dans l'édification de leur architecture, à l'usage de colonnes aux allures
humaines.
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