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Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning philippelopes@free.fr

Vie bactérienne

Les êtres vivants, animaux & végétaux, sont de nature bactérienne; les virus bactériens des maladies infectueuses hétérogènes ont leur source originelle dans l'organisme des êtres vivants. La doctrine pasteurienne (l'hygiène à outrance) devrait entraîner toute la prévention médicale dans le néfaste mais lucratif système des vaccinations à outrance. Les seules découvertes scientifiques ou présumées telles qui peuvent se développer particulièrement depuis un siècle, sont celles qui ouvrent carrière à des puissances financières, lesquelles, une fois installées, ont les moyens d'étouffer dans l'œuf tout ce qui menace leur suprématie. Il y a belle lurette que les automobiles fonctionneraient à l'hydrogène, c'est-à-dire à l'eau claire, si les compagnies pétrolières n'y avaient fait obstacle.

Créativité sous contrôle

De la même manière, l'Institut Pasteur, c'est-à-dire la diabolique puissance financière mise sur pied par la super-star de la médecine française (qui n'a jamais été médecin) a privilégié avant tout son intérêt propre, écartant férocement, grâce à tout un réseau d'influences médicales, administratives et politiques, toute recherche et découverte, même lorsqu'elle émanait de ses propres chercheurs. Un exemple frappant est celui de Jacques Benveniste et ses travaux sur la mémoire de l'eau. Les égarements de la bactériophobie pasteurienne qui est en train de "phagocyter" le monde médical conduit irrémédiablement vers des hécatombes virales tels le sida, l'explosion des cancers, le retour imprévu de la tuberculose, la sclérose en plaques, la maladie de Creutzfedt-Jacob (hormones de croissance prélevées sur les hypophyses des cadavres humains ...) et ce n'est pas fini. Photographies à l'appui, Jules Tissot a établi que les mitochondries n'existaient pas. Il s'agit en fait de débris d'organites haltères disloqués par les fixateurs employés sans précaution.

Cellules vivantes

Les microzymas pénètrent évidemment, dans les cellules et y exercent leur action mais n'y restent pas; elles en sortent avec les liquides secrétés par la cellule (urine, lait, salive, sucs digestifs), ou avec la lymphe qui en émane. Elles ne font donc pas partie de la cellule qu'elles ne font que traverser. L'organite haltère est bien l'unité élémentaire du monde vivant: "La vie est en somme, une force intérieure attachée à la matière vivante qui permet à celle-ci de prendre dans le milieu extérieur qui lui conviennent pour sa croissance et sa multiplication." Jules Tissot, en plein accord avec Antoine Béchamp, démontre que bactérie, virus, hyphomycète (champignon, pseudo-mitochondrie), ne sont que les diverses formes prises, selon les conditions du milieu ambiant, par les organites cellulaires (haltères ou colibacilles). Toute espèce bactérienne est une forme seulement provisoire de la matière vivante provenant d'un être organisé, animal ou végétal. Jules Tissot en conclut l'origine de la plupart des maladies. Elles ne peuvent avoir que deux sources: soit l'ingestion de matières alimentaires partiellement avariées, soit le dérèglement organique créant à l'intérieur du corps la transformation des organites en bactéries.

Complément d'informations

REFERENCES Savants maudits, chercheurs exclus (Tome 1) Pierre Lance Editions Guy Trédaniel 2003 Complément d'informations Si le contenu de cette page vous a plu, vous devriez apprécier les pages suivantes. Immunité Nature [Biologie / Immunité / Bactéries] L'hygiène à outrance selon Jules Tissot L'hygiène à outrance selon Antoine Béchamp