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La petite histoire Up Page
La reproduction des anguilles Un phénomène biologique qui se rattache à l'existence de la mer des Sargasses et en confirme le caractère exceptionnel, est celui qui régit le mode de reproduction des anguilles. On a longtemps ignoré comment et où se reproduisait cette espèce aquatique. On ne trouvait chez nous que des femelles et on voyait le naissain (larve nageuse) apparaître sur nos côtes en venant de la mer sous la forme de ce qu'on appelle piballe ou civelle. Les anguilles femelles de nos eaux terrestres, devenues mûres à l'automne, abandonnent ces eaux pour gagner la mer où les attendent les mâles. Ils vont ensemble vers la haute mer et après un long voyage atteignent au printemps la région des Sargasses où ils trouvent une zone de calme. Là règne grâce au Gulf-Stream, jusqu'à 400 mètres de profondeur une température de 17° nécessaire au frayage de l'anguille, à l'émission des œufs et à leur fécondation. Les larves ainsi produites partent au printemps vers les côtes des deux continents, et bien que poussées par les courants ne les atteignent que quelques années après sous une forme minuscule, appelées sur nos côtes de l'ouest piballe ou civelle; passant par-dessus tous les obstacles même solides elles gagnent nos eaux terrestres, rivières, lacs ou même étangs et s'y développent pour recommencer plus tard le même cycle de reproduction. Le même phénomène se reproduit sur toutes les côtes de l'Atlantique nord, et c'est toujours dans la mer des Sargasses que viennent frayer toutes les anguilles des deux continents. Ce comportement si compliqué tient-il à quelque habitude ancestrale, ou simplement aux avantages que présente aujoud'hui le centre d'attraction constitué par la mer des Sargasses ? Le doute subsiste sur ce point, mais il est permis d'y voir quelque rapport avec un état de choses très ancien, impliquant, comme la mer des Sargasses, l'existence d'une île disparue dont les côtes auraient été favorables à la prolifération des anguilles, et vers lesquelles elles auraient eu tendance à revenir, tendance à revenir, tendance subsistant encore malgré la disparition de l'île. Actuellement certains biologiques mettent en doute ce phénomène encore mal observé de la migration des anguilles jusqu'à la mer des Sargasses.
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Comprendre simplement Up Page
Souvenirs de l'Atlantide Indiens La plupart des tribus indiennes conservent le souvenir légendaire d'être venus de l'Est, ou d'avoir appris les arts civilisés grâce à des surhommes venant d'un continent situés à l'est. Jérôme Frascator (1483-1553), médecin de Vérone et poète à ses heures, suggéra en 1530 que les Indiens pourraient être les descendants des rescapés du continent englouti de l'Atlantide. Cette idée fut reprise par Gonzalo de Oviedo y Valdez (1478-1557), intendant général des mines et du commerce en Amérique, sous Charles Quint, dans son Histoire générale et naturelle des Indes occidentales, publiée à Madrid en 1535. Aztèques 
Les peuples aztèques conservaient le souvenir de leur patrie
d'origine, Aztlan, dont dérive du reste le nom même des Aztèques. En langue aztèque
(Nahuatl),
"Atl" veut dire
"élu", et le même mot a
le même sens dans la langue berbère en Afrique du Nord.
Quetzalcoatl, le dieu des Aztèques et d'autres peuples du Mexique, était, dit-on, un homme à barbe blanche venu de l'Océan dans la vallée de Mexico et qui, après avoir civilisé le Mexique, serait retourné à Tlapallan. Maya Maya Quiche (du peuple Maya) évoque le véritable paradis qu'ils auraient connu, à l'est, "où Blancs et Noirs vivaient en paix", jusqu'à ce que le dieu Hurakan (ouragan), dans sa fureur, engloutisse les terres. Parias Une tribu d'Indiens blancs, appelés Parias, vivait jadis au Venezuela dans un village qui portait le nom significatif de "Atlan". Elle maintenait la tradition d'un désastre qui avait détruit son pays, une vaste île de l'Océan. Plus de 130 tribus d'Indiens d'Amérique conservent les légendes ayant trait à une catastrophe mondiale. Pays d'Og Les habitants d'Amérique Centrale étaient formé d'un métissage entre ceux de l'Atlantide, Mu (Mu: après les Rocheuses, Mu: avant les Rocheuses ou encore Mu continent perdu) et Oz (ou Og située en terre péruvienne). Edgar Cayce fait de nombreuses allusions à des arrivées des atlantes en Egypte et dans les Pyrénées. Avant la destruction, les Atlantes allèrent en Egypte (Platon & Diodore, Platon et les Egyptiens, ou encore Carte conjecturale de l'Atlantide), dans les Pyrénées, au Yucatan, et dans le pays d'Og. Il existait jadis en France, deux langues que l'on parlait fréquenmment: la langue d'Oil et la langue d'Oc (qui donna plus tard le Languedoc)... Conquistadors Lorsque les conquérants espagnols explorèrent le Vénézuela, ils y trouvèrent une colonnie appelée Atlan, peuplée d'Indiens à la peau blanche (à ce qu'il sembla, du moins, aux espagnols) qui leur dirent avoir pour ancêtres les survivants d'un pays englouti.
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Domaines de présence Up Page
Ressemblances animales, végéles et autres D'après Louis Germain, paléontologue, qui a étudié les bêtes et les plantes tant sur les côtes d'Afrique et d'Amérique que sur les Açores (L'Atlantide aux Açores), les Canaries (Benincasa: 1482 Antilia, Albino de Canepa: 1489 ou encore Superposition Benincasa & Canepa), les îles Madère et du Cap Vert, il n'y a aucun doute que l'analogie de la faune et de la flore dans ces contrées de situations si diverses permet de conclure à l'existence, au moins tertiaire, d'une terre soudée d'une part au plateau des Antilles actuelles et, d'autre part, à la Mauritanie et à l'Espagne d'aujourd'hui. En outre, les navires océanographiques Président-Tissier et Travailleur ont découvert, par 500 mètres de fond, au large d'Arcachon, dans un de ces habitats marins demeurés intact depuis les âges préhistoriques, des espèces de fleurs animales dénommées "Encrines" qu'on ne trouve nulle part si ce n'est dans le golfe mexicain. Stromer a insisté sur les nombreuses parentés qu'on relève entre le Brésil du Nord et la Guinée et il a formulé les réflexions ci-après concernant le lamantin, bizarre cétacé-mammifère aux seins de femme, qui a bien pu donner naissance à la légende des sirènes et que les Anciens surnommaient "homme-marin" (homme-marin). 
On constate la présence du lamantin (Manatus) aussi bien
dans l'Afrique occidentale que dans les régions tropicales
de l'Amérique centrale et du Sud. Cet animal vit dans les
fleuves et les mers chaudes peu profondes et il lui est impossible de
traverser l'océan Atlantique. On en conclut qu'il doit y
avoir eu, dans un passé pas trop
éloigné, une zone de mers néritiques
le long des rivages septentrionaux de l'Amérique du Sud
entre celle-ci et l'Afrique occidentale.
Les mêmes analogies de la distribution végétale et animale sont observées dans les terres qui bordent l'Atlantique nord. La bruyère n'existe qu'en Europe et à Terre-Neuve (ou les régions immédiatement voisines). Nombre de végétaux d'Amérique ne se retrouvent qu'en Irlande. On ne relève la présence de l'escargot des jardins que dans le centre et à l'ouest de l'Europe, les îles Britanniques, l'Islande, le Groenland, le Labrador, Terre-Neuve et l'est des Etats-Unis. Une autre particularité mal expliquée est celle du frai des anguilles. On sait que celles-ci vont se reproduire dans les herbes flottantes de la mer des Sargasses. Ce lieu de reproduction est le même pour les anguilles américaines et européennes, les uns ayant une moindre traversée à faire, les autres devant effectuer un voyage plus long et périlleux. Ne peut-on pas supposer qu'en un temps donné l'emplacement des Sargasses était beaucoup plus rapproché des côtes d'Europe ? Ceci expliquerait parfaitement les dires des marins de l'Antiquité d'après lesquels les mers inconnues de l'Ouest étaient encombrées d'algues qui rendaient la navigation difficile. Le botaniste germain Kuntzo s'est demandé comment le bananier, originaire des contrées tropicales d'Asie et d'Afrique, a pu être transportée en Amérique alors qu'on ne peut ni la semer, ni la bouturer, ni la multiplier par éclats. Mais la plus déconcertante constatation est celle du professeur Asa Grey, d'après lequel, sur 66 genres et 155 espèces de plantes rencontrées sur le versant oriental des Montagnes Rocheuses en Amérique, 31 genres et 78 espèces seulement se retrouvent sur le versant occidental des mêmes monts. Remarque qui prend un grand intérêt quand on sait que les 66 genres et les 155 espèces existent à peu près intégralement du côté européen.
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Son interprétation dans l'avenir Up Page
Flèches et pointes solutréennes René Malaise, dans sa "Géologie et les fonds marins", démontre que la majorité des configurations de terrain de la dorsale Nord-Atlantique, en particulier les gorges et les ravins, n'ont pas pu être provoquées par la turbulence de courants sous-marins mais ont dû se former alors que le fond marin se trouvait à la surface. Son article présente aussi des dessins comparant des pointes de flèches trouvées à Sandia Cave, au Nouveau-Mexique (USA) avec des pointes solutréennes provenant de France et du Maroc. Comme ces flèches seraient vieilles de 25 000 ans, Malaise en conclut que ceux qui les employaient se sont installés à l'est et à l'ouest de l'Atlantide.
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Les références Up Page
Réseau Pepe Atlantide et continents disparus Guy Rachet Merveilles du monde précolombien Guy Rachet Mystère de l'Atlantide Charles Berlitz LesSecrets de l'Atlantide Andrew Tomas Visions de l'Atlantide Edgar Cayce Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil).
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Ce que vous avez toujours voulu savoir Up Page
Océan Atlantique De toutes les coïncidences linguistiques, la plus troublante est sans doute ne nom même de l'océan où nous nous baignons, que nous sillonnons par mer ou par air _ l'Atlantique _, peut être un maillon de la légende des cités heureuses englouties au fond des eaux. Certes, le nom de l'Atlantique vient d'Atlas, le géant qui, selon la légende grecque, soutenait le monde. Mais l'histoire même d'Atlas n'est-elle pas à l'origine une allusion allégorique à la puissance de l'empire des Atlantes ? En grec, Atlantide signifie "fille d'Atlas".
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Ce que vous devez savoir Up Page
Complément d'informations Si le contenu de cette page vous a plu, vous devriez apprécier les pages suivantes. Atlantide Atlantide L'Atlantide, il y a 50 722 ans Atlantide, il y a 27 000 ans L'Atlantide aux Açores Détroit de Gibraltar (Espagne - Maroc) Atlantide: du côté des Indiens Atlantide de Irlande L'Atlantide selon Platon Cartes Carte conjecturale de l'Atlantide (Platon & Egyptiens) Benincasa: 1482 Antilia Albino de Canepa: 1489 Superposition Benincasa & Canepa Carte conjecturale de l'Atlantide Peuples amérindiens Aztèques Incas Mayas Mochica Olmèques Toltèques Les Atlantes Les Anciens égyptiens du Nouveau Monde L'Atlante d'Amazonie Dieu Atlante Dieux atlantes L'homme-marin
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