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Système géométrique selon Rod Johnson (1996-2010)

La géométrie

Rod Johnson a développé en physique quantique un modèle de travail entièrement basé sur la géométrie, lequel a mis en ligne des concepts fascinants sur le forum de discussion de Richard C. Hoagland en 1996.

"J'ai été stupéfait de voir combien de mystères de la mécanique quantique il pouvait expliquer grâce à la géométrie, y compris la constante de Planck, la constante de structure fine, le rapport entre la force faible et la force forte, la structure du photon, et d'autres choses semblables. Sans n'avoir jamais entendu parler du modèle théorique de Larson, Johnson a développé de manière indépendante un concept similaire." Dira de lui David Wilcock.

Dans le modèle de Johnson, Rod décrit une réalité parallèle qui ne cesse de croiser la nôtre dans chaque atome, à l'échelle la plus infime. Chaque atome a une dimension géométrique dans notre réalité et une dimension géométrique inverse dans la réalité parallèle.

Ces deux dimensions effectuent une contre-rotation l'une à l'intérieur de l'autre. Chaque étape de ce processus nous fait passer par les différents éléments chimiques. De toute évidence, Johnson avait un excellent modèle, même s'il ne comportait pas encore suffisamment de détails pour expliquer l'ensemble du tableau périodique, mais il avait le sentiment que toutes les réponses pouvaient être trouvées dans la théorie des circlons de James Carter.

Modèle du Dr Robert Moon (1974-1989)

Convaincu, en 1986 que la géométrie était la clé pour comprendre la physique quantique et que cette géométrie s'appliquait dans le temps autant que dans l'espace, Robert Moon proposa lors d'une conférence qu'il tint en 1987 son concept selon lequel l'espace et le temps sont quantifiés.

Il faut franchir une certaine distance dans l'espace ou traverser une certaine quantité de temps avant de pouvoir passer à la phase suivante. Selon le modèle du Dr Moon ainsi que celui du système géométrique de Rod Johnson, la configuration des protons du noyau atomique des éléments chimique répond au même principe de disposition que les sommets des cinq solides de Platon, à savoir le tétraèdre (4), le cube (8), l'octaèdre (6), l'icosaèdre (12) et le dodécaèdre (20). Chaque configuration spatiale représente donc les fameuses phases quantifiées de l'occupation des protons du noyau, dans la constitution des éléments chimiques.

Corps élémentaires de Platon

En ne tenant pas compte du modèle géométrique tétraédrique, Robert Moon parvient à expliquer les 46 premières configurations (8+6+12+20) des éléments chimiques. La première couche électronique (électrons satellites) a la forme d'un cube (8 électrons donc huit protons : l'oxygène, présent à 62,55% sur Terre). La deuxième couche électronique a la forme d'un octaèdre (soit 14 électrons au total, d'où 14 protons : le silicium, présent à 21,22% sur Terre). La troisième couche électronique a la forme d'un icosaèdre (un total de 26 électrons & donc 26 protons : le fer, présent à 1,2% sur Terre, aux propriétés magnétiques). La quatrième couche électronique a la forme d'un dodécaèdre (46 électrons & 46 protons : le palladium, agent important dans la fusion froide).