Sélinité raciale
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La petite histoire Up Page Origine ancienne de l'Homo sapiens Chaque nouvelle découverte paléontologique ajoute un peu plus de confusion aux théories sur l'évolution humaine. Il est maintenant évident qu'aucun des deux modèles actuels, "l'origine multirégionale" et "l'origine africaine récente", n'a réussi à expliquer le mystère de nos origines, de plus en plus obscures. |
Comprendre simplement Up Page Théories en vogue La première théorie soutient la thèse d'une espèce humaine qui se serait formée au fil du temps, sur 2 millions d'années environ, dans différentes parties du monde, à partir des populations d'Homo erectus, toutefois reliées entre elles par des échanges génétiques. Le second modèle suggère que tous les peuples humains descendraient d'une seule et même population qui aurait vu le jour en Afrique, il y a 150 000 ans. |
Domaines de présence Up Page Monde présent La thèse de l'ancienneté de l'H. sapiens n'est pas nouvelle, pas plus que l'idée de réversion évolutive. E. Mayr disait en 1979 "quand on étudie la tendance d'un caractère, le résultat est incohérent car il change de direction à plusieurs reprises et quelquefois même il s'inverse". J.L. Arsuaga ( 2001 ) pense que "les réversions, ou retours en arrière, de la taille des molaires et de la grosseur de l'émail ne sont pas inconcevables, loin de là, car elles dépendent des changements de régimes alimentaires". Nombreux sont les paléontologues et les évolutionnistes modernes qui savent que la réversion évolutive est une réalité, et même qu'elle est beaucoup plus fréquente que ce que l'on croit habituellement. Il n'est pas nécessaire de citer les anciens paléontologues qui identifièrent clairement ce phénomène qui donna lieu à l'élaboration de théories telle que la "sénilité raciale", selon laquelle toutes les lignées tendent vers le vieillissement et l'extinction après une période de développement et de maturité ( Bowler, 1985 ). |
Son interprétation dans l'avenir Up Page Evolution inverse Malgré l'existence de variantes pygmées dans de nombreuses espèces animales ( chevaux, poules, etc. ), la plupart des évolutionnistes refusent d'accepter l'existence de l'évolution inverse, par exemple de la taille du corps ou de tout autre caractéristique morphologique. |
Les références Up Page Réseau Pepe Marcogee Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Mais encore … Up Page L'idée de l'encéphalisation ou de volume croissant du cerveau Si la capacité cérébrale de l'Homo erectus ou de l'Homo sapiens dépasse 1 000 centimètres cubes ( cc ), et si ces derniers produisent un homme d'à peine un mètre cinquante de hauteur, pesant une trentaine de kilos et dont la capacité crânienne ne dépasse pas 400 cc ( inférieure à celle d'un chimpanzé ), comment peut-on appeler autrement ce type d'évolution ? Certains auteurs se sentent mal à l'aise avec l'idée d'évolution régressive, mais il faudra bien donner un nom à un type d'évolution qui, dans ce cas précis, fait régresser cette lignée vers les caractéristiques simiesques de ses antiques parents, les chimpanzés. |