Réseau zodiacal des vortex terrestre selon Yvan T. Sanderson (Etats-Unis, 1960)
Dix zones de disparition
Zones de turbulence
Douze cimetières du Diable
3 300 sites anciens
Champ de concordances
Grille planétaire
Lignes de Ley
Expansion géométrique de la Terre
Noyau cristalin
Cage et corde magnétique
Compléments d'informations

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Trois minutes pour comprendre / Three minutes of learning
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Dix zones de disparition
Triangle des Bermudes A la fin des années 1960, Sanderson avait clairement établi dix zones sur terre, approximativement équidistantes les unes par rapport aux autres, dans lesquelles navires et avions disparaissent régulièrement, où des défaillances d'équipement avaient été observées en mer comme dans les airs.

Cinq de ces zones sont situées sur la même latitude tropicale de l'hémisphère nord (30° lattitude Nord), chacune étant située à 72 degrés de longitude des autres.

Les cinq autres sont disposées de la même manière dans l'hémisphère sud (30° lat. Sud), mais elles sont toutes décalées de 20 degrés de longitude vers l'est par rapport à celles de l'hémisphère nord.

Les pilotes affirmaient que dans ces dix zones, ou à proximité de celles-ci, ils avaient été témoins d'anomalies temporelles, comme le fait d'arriver "beaucoup trop tôt" ou "beaucoup trop tard" à destination.

Ils purent le confirmer à l'aide des données fournies par leurs propres instruments et grâce à celles qui étaient enregistrées au sol.

Zones de turbulence
Le 16 mars 1971, lors de l'émission "The Dick Cavett Show" (extrêmement populaire sur la chaîne américaine ABC dans les années 1960 – 1970), Sanderson exposa à Arthur Godfrey (pilote victime de ces anomalies), l'existence de ces dix points sur un globe terrestre.
Vortex terrestres ou les douze triangles des Bermudes
Sanderson a découvert que la plupart des disparitions de navires et d'avions survenaient en douze endroits équidistants autour du monde formant cette figure géométrique. Arthur Godfrey en fut époustouflé. Il avait vécu trois expériences dans ces mêmes régions qui confirmaient parfaitement les affirmations de Sanderson.

Dix des douze vortex: Devil's Triangle (ou Triangle du Démon, Japon), Wharton Basin (ou Bassin Wharton, Australie), Loyalty Islands (fosse des Kermadec, îles Loyautés, Nouvelle-Zélande), Hamakulia Volcano (volcan sousmarin Hamakulia, Hawaï), Easter Island (île de Pâques), Bermuda Triangle (Triangle des Bermudes, Floride, USA), Offshore from Rio de Janeiro (Rio de Janeiro, Brésil), Algerian Megalithes (Saba, Libye), Zimbabwe's anciens (Afrique du Sud, Mozambique, Swaziland), Indus River (Vallée de l'Indus, Inde-Népal).

Vortex terrestres ou les dix triangles des Bermudes

"Visitez ma Carte du Monde, où ces lieux sont indiqués par un point rouge. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences.
Douze cimetières du Diable
Sanderson publia un diagramme de ces douze "redoutables vortex", comme il les appelait, dans le numéro d'avril 1971 de "Pursuit", son journal. Il réussit ensuite un bon coup de publicité lorsque son article intitulé "Les douze cimetières du Diable autour du monde" parut dans un numéro du magazine "Saga" en 1972.
Isocaéadre & dodécaèdre imbriqués l'un dans l'autre
Trois chercheurs soviétiques, Nikolai Goncharov (historien), Vyacheslav Morozov (ingénieur en construction) et Valéry Makarov (spécialiste en électronique) publièrent un article parut en 1973 sous le titre "La Terre est-elle un énorme cristal ?" , dans la populaire revue "Khimiya i Jiz" (qui signifie "Chimie et Vie" en russe) de l'Académie des sciences de l'URSS.

Effectivement, ils se rendirent compte que les douze vortex de Sanderson formaient un icosaédre lorsqu'on les reliait dans un espace tridimensionnel. Il s'agit d’une figure géométrique de forme sphérique qui possède vingt faces, dont chacune est un triangle équilatéral parfait. Ces chercheurs étaient d'avis que cette sorte de structure cristalline énergétique existe au sein de la Terre et ils lui donnèrent le nom de "matrice d'énergie cosmique".

"Visitez ma Carte du Monde, où les points rouges représentent les sommets d'un isocaèdre, les points verts les sommets d'un dodécaèdre. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres points d'une même couleur", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences.

3 300 sites anciens
Les trois Russes (Nikolai Goncharov, Vyacheslav Morozov & Valéry Makarov) s'aperçurent que l'icosaèdre (figure géométrique constituée de vingt faces de triangles équilatéraux) et le dodécaèdre (figure géométrique composée de douze faces pentagonales) sont complémentaires: chaque sommet de l'un, représente le milieu de la face de l'autre, et vice versa.
Isocaéadre & dodécaèdre sur la Terre De plus, une fois le dodécaèdre ajouté à la découverte de l'isocaédre de Sanderson, ces scientifiques russes se sont rendu compte que plus de 3300 sites anciens ont été construits suivant cette grille, dont la Grande Pyramide en Egypte Egypte, les ruines du Grand Zimbabwe en Afrique centrale Zimbabwe, Stonehenge et Avebury en Angleterre Royaume-Uni, les pyramides de la province de Xi an en Chine Chine, les cercles de pierres de Kunoonda en Australie Australie, les ruines de Nan Madol àve Pohnpei Indonésie, les mystérieuses statues de pierre de l'île de Pâques Chili, la cité inca du Machu Picchu au Pérou Pérou, les pyramides du Soleil et de la Lune àve Teotihuacan au Mexique Mexique, la région Four Corners (des quatre coins) où se trouvent les réserves des Navajos et des Hopis dans le Sud-ouest américain United States, ainsi que Sedona en Arizona et de nombreux autres lieux mythiques.

"Visitez ma Carte du Monde, où les points rouges représentent les sommets d'un isocaèdre, les points verts les sommets d'un dodécaèdre. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres points d'une même couleur", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences.

Champ de concordances
Plusieurs lignes de fracture sismique, notamment les montagnes volcaniques sous-marines, coïncident avec les lignes de cette "matrice d'énergie cosmique". La dorcale médio-Atlantique en est l'exemple même, ainsi que certaines chaînes de montagnes continentales comme le Mont Everest.

Tous ces effets pourraient bien être le résultat de l'action de courants de spin naturels dans le manteau terrestre.

Les soixante-deux intersections, définies par le croisement de trois lignes de cet icosaèdre, seraient les zones où, d'une part, la pression atmosphérique offrent le maximum d'amplitude (minima & maxima), et d'autre part, la force géomagnétique présente également les écarts les plus forts.

La présence des grands courants océaniques ainsi que des tourbillons marins, correspondent aux mêmes zones particulières d'intersections énergétiques de cet icosaèdre.

Ce serait la poussée latérale de la force de gravité (courants spiralés de Nikolaï Kozyrev) qui entraînerait, d'une part, la roche en fusion selon des modèles de flux cycliques (effet géomagnétique), et d'autre part le déplacement des masses atmosphérique suivant (effet océanique).

Grille planétaire
Le couple américain United States, le Dr William Becker et sa femme, le Dr Bethe Hagens, ont poursuivi et amélioré les travaux des scientifiques russes, en traçant des lignes qui reliaient un plus grand nombre de points géométriques et en créant ce qui pourrait être la représentation la plus élaborée àve ce jour de la grille mondiale.

Dans leur ouvrage "The Planetary Grid : A New Synthesis", le Dr William Becker et le Dr Bethe Hagens ont démontré que le vol KAL 007 (départ d'Anchorage, en Alaska, 1er septembre 1983 United States) et le vol KAL 902 (partance de Paris France, à destination d'Anchorage, 20 avril 1978 United States), coïncidaient avec d'importantes fêtes culturelles : le vol KAL 007 eut lieu durant une fête hindoue dédiée à Vishnou, et le vol KAL 902 se déroula le Vendredi saint, qui était aussi le jour de la pâque juive cette année-là.

Il est possible que dans l'Antiquité certains jours de fête aient été choisis pour une raison particulière. En effet, l'alignement de la Terre avec certains astres au fil des saisons donnait peut-être aux atomes l'impulsion supplémentaire nécessaire pour franchir la limite de la vitesse de la lumière lors de ces journées spéciales.

Lignes de Ley
Au 20e siècle, sir Alfred Watkins a constaté qu'un grand nombre de sites architecturaux en Angleterre Royaume-Uni datant de toutes les époques sont situés sur des alignements rectilignes appelés lignes de ley. Il y en a une en particulier qui traverse presque de part en part le sud de l'Angleterre. Un article de la BBC de 2005 en parle très bien.

"Les lignes de ley sont des alignements et des vecteurs de puissantes énergies terrestres invisibles censés relier divers sites sacrés, comme des églises, des temples, des cercles de pierres, des mégalithes, des fontaines sacrées, des lieux de sépulture et d’autres lieux d'importance spirituelle ou magique"
Encyclopédie des expériences mystiques et paranormales, publiée chez Harper.

"Les effets produits par ce type d'énergie sont, paraît-il, similaires à ceux de l'électricité statique, soit des sensations de 'frisson' sur la peau avec les poils qui se hérissent ... Un phénomène souvent rapporté lors des enquêtes est celui du fonctionnement erratique (dysfonctionnement irrationnelle) des appareils électroniques ... On constate souvent que des structures préhistoriques particulièrement importantes sont situées au croisement de deux ou plusieurs lignes de ley".

Dans un article de Joseph Jochmans intitulé "La Terre, une planète de cristal ?" paru en 1996 dans un numéro du journal Atlantis Rising, Jochmans y révèle que de nombreuses cultures anciennes dans le monde avaient un intérêt tout particulier pour ces anciennes lignes droites. Les Irlandais Irlande les appelaient des "chemins de fées". Les Allemands Allemagne les qualifiaient de "lignes saintes". Les Grecs Grèce disaient qu'elles étaient les "routes sacrées d'Hermès". Les anciens Egyptiens Egypte les appelaient les "Chemins de Min". Les Chinois Chine affirmaient qu'il s'agissait de "lung mei", ou des "courants du dragon".

Les aborigènes d'Australie Australie appelaient ces lignes des "sentiers de rêve", effectuaient des voyages saisonniers dans le bush le long de ces lignes afin de réénergiser la force de vie dans ces régions, et prétendaient même qu'ils pouvaient localiser le gibier ainsi que prédire l'approche des tempêtes en méditant sur les lignes.

Les anciens Polynésiens France leur donnaient le nom de "te lapa", ou "lignes de lumière", et pouvaient apparemment les percevoir à la surface de l'océan sous la forme de lignes lumineuses visibles qui servaient à la navigation. Les habitants de l'île de Pâques Chili et d'Hawaï United States les qualifiaient de "fils daka" et construisaient des têtes de pierre ainsi que des plateformes sacrées (ou ahti) à Hawaï afin d'exploiter le "mane", ou "pouvoir de vie", émanant de ces lignes. Les chamans autochtones américains parlent souvent des énergies de guérison de la Terre qu'ils appellent "Orenda" ou "Manitou".
La civilisation inca s'est organisée entièrement autour de ces lignes, et son peuple y a construit ses "wacas", ou centres cérémoniels, qui tous convergeaient vers le temple du Soleil à Cuzco Pérou. Les Mayas construisirent également des routes blanches surélevées appelées "saches" qui suivaient parfaitement ces lignes droites, traversaient les marais et reliaient leurs complexes pyramidaux.
Les roues de médecine et les "kivas" (chambres rituelles circulaires) en Amérique du Nord occidentale sont également situées suivant des alignements rectilignes, et les constructeurs de tumulus dans les régions du Midwest et de la côte est des Etats-Unis United States ont également disposé leurs structures de manière qu'elles forment de curieux alignements, encore une fois dans le but, semble-t-il, d'exploiter les pouvoirs de cette grille et la cohérence qu'elle produit.

Expansion géométrique de la Terre
Corps élémentaires de Platon Joseph Jochmans, auteur de "La Terre, une planète de cristal ?" paru en 1996, affirmait que les anciens Hopis aux Etats-Unis United States disaient que la Terre était comme le dos d'un faon tacheté : "à mesure que le faon grandit, les taches changent de position et de nouveaux points apparaissent".

Le décès en 1998 du scientifique de la NOAA Athelstan Spilhaus révèle l'existence d'un document qu'il publia en 1976, en faveur de la véracité des légendes Hopis. Athelstan Spilhaus, qui était un scientifique hautement décoré (rôle clef dans la défaite des forces hitlériennes), et un inventeur de génie (projet ultrasecret du ballon-sonde Mogul), rencontra au Centre de vol spatial Goddard de la NASA en 1976 le Dr Liu Hanshou.

Liu Hanshou fut le premier à découvrir que lorsque le supercontinent Pangée se scinda il y a 220 millions d'années, il le fit le long de lignes équidistantes formant les arêtes d'une figure géométrique de forme pyramidale appelée tétraèdre. Athelstan Spilhaus lui fit remarquer que les continents, les dorsales volcaniques et les lignes de faille sismiques adoptent la combinaison d'un cube et d'un octaèdre. A partir de cette phase, la Terre changea à nouveau de forme pour adopter exactement la disposition redécouverte par Sanderson en 1971 United States et par les Russes en 1973 Russie, à savoir la combinaison d'un icosaèdre et d'un dodécaèdre.

Noyau cristalin
En 1995, l'Université Carnegie-Mellon et l'Université de Pittsburgh mettent au point un modèle informatique sophistiqué du noyau de la Terre à l'aide du Pittsburgh Supercomputing Center, lequel révèle l'existence thérique d'un noyau cristalin à 5 000 kilomètres de profondeur.

Le modèle Glatzmaier-Roberts de la NASA révèle la présence d'une structure géométrique régulière évoquant un cristal de forme dodécaédrique dans le noyau de la Terre tel qu'il est illustré sur la droite.

Modèle Glatzmaier-Roberts

Forme tétraédrique sur Jupiter Une "géométrie tétraédrique" est confirmée par Richard C. Hoagland, qui signale cette présence sur le Soleil (les taches solaires n'apparaissent pas au-delà de 19,5 degrés de latitude nord ou sud), sur Mars (le volcan bouclier Olympus mons [nom latin pour mont Olympe], trois fois plus élevé que le mont Everest, se trouve à 19,5 degrés de latitude), sur Vénus (où deux importants volcans se trouvent aussi près de la même latitude), sur la Terre (les îles hawaïennes sont situées à &19,5 degrés de latitude), sur Jupiter comme, l'image ci-contre (la grande tache rouge s'y trouve également), et sur Neptune (la grande tache sombre se trouve aussi à 19,5 degrés).

Le Dr Hans Jenny constate que des motifs géométriques apparaissent tout naturellement dans un liquide en le faisant simplement vibrer. Dans ses recherches sur ce qu'il appelait des Cymatics, le Dr Jenny prenait de l'eau ordinaire et la remplissait de minuscules particules flottant librement auxquelles on a donné le nom de colloïdes. Ces particules ne peuvent couler au fond en raison de leur très petite taille, de sorte qu'elles restent en suspension dans l'eau. Lorsque le Dr Jenny faisait ensuite vibrer l'eau à différentes fréquences, les particules s'assemblaient immédiatement pour former de très belles figures géométriques tridimensionnelles.

Motifs géométriques de Hans Jenny

Cage et corde magnétique
L'astrophysicien Tahar Amari (Ecole Polytechnique du CNRS, France) France a mis en évidence en février 2018 la présence d'une "cage" renforcée dans laquelle se développe une corde magnétique à l'origine des éruptions solaires.
Eruption solaire

C'est la résistance de cette "cage" aux assaults de la corde qui détermine la puissance et le type d'éruption à venir. Tous ces phénomènes se produisent dans la couronne, la zone la plus externe du Soleil, en expulsant des bulles de plasma.
Eruption solaire

Lors de la grosse éruption du 24 octobre 2014, des chercheurs avaient montré qu'une structure caractéristique, un enchevêtrement de lignes de forces magnétiques torsadées, apparaissait progressivement dans les jours précédents une éruption. Quelques heures avant l'éruption, la corde qui se développait était enfermée dans une "cage" magnétique multicouche.
Eruption solaire

Complément d'informations
REFERENCES
Investigations sur le champ de conscience unitaire Wilcock David Tome 1 & 2 - Editions Ariane 2012