Réseau zodiacal des vortex terrestre selon Yvan T. Sanderson (Etats-Unis, 1960)
Dix zones de disparition Zones de turbulence Douze cimetières du Diable 3 300 sites anciens Champ de concordances Grille planétaire Lignes de Ley Expansion géométrique de la Terre Noyau cristalin Cage et corde magnétique Compléments d'informations Accueil Chroniques Evénements |
![]() philippelopes@free.fr |
Dix zones de disparition ![]() |
![]() Cinq de ces zones sont situées sur la même latitude tropicale de l'hémisphère nord (30° lattitude Nord), chacune étant située à 72 degrés de longitude des autres. Les cinq autres sont disposées de la même manière dans l'hémisphère sud (30° lat. Sud), mais elles sont toutes décalées de 20 degrés de longitude vers l'est par rapport à celles de l'hémisphère nord. Les pilotes affirmaient que dans ces dix zones, ou à proximité de celles-ci, ils avaient été témoins d'anomalies temporelles, comme le fait d'arriver "beaucoup trop tôt" ou "beaucoup trop tard" à destination. Ils purent le confirmer à l'aide des données fournies par leurs propres instruments et grâce à celles qui étaient enregistrées au sol. |
Zones de turbulence ![]() |
Le 16 mars 1971, lors de l'émission "The Dick
Cavett Show" (extrêmement populaire sur la chaîne américaine ABC dans
les années 1960 – 1970), Sanderson exposa à Arthur Godfrey (pilote victime de ces anomalies),
l'existence de ces dix points sur un globe terrestre.
![]() Sanderson a découvert que la plupart des disparitions de navires et d'avions survenaient en douze endroits équidistants autour du monde formant cette figure géométrique. Arthur Godfrey en fut époustouflé. Il avait vécu trois expériences dans ces mêmes régions qui confirmaient parfaitement les affirmations de Sanderson. Dix des douze vortex: Devil's Triangle (ou Triangle du Démon, Japon), Wharton Basin (ou Bassin Wharton, Australie), Loyalty Islands (fosse des Kermadec, îles Loyautés, Nouvelle-Zélande), Hamakulia Volcano (volcan sousmarin Hamakulia, Hawaï), Easter Island (île de Pâques), Bermuda Triangle (Triangle des Bermudes, Floride, USA), Offshore from Rio de Janeiro (Rio de Janeiro, Brésil), Algerian Megalithes (Saba, Libye), Zimbabwe's anciens (Afrique du Sud, Mozambique, Swaziland), Indus River (Vallée de l'Indus, Inde-Népal). ![]() "Visitez ma Carte du Monde, où ces lieux sont indiqués par un point rouge. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences. |
Douze cimetières du Diable ![]() |
Sanderson publia un diagramme de ces douze "redoutables vortex",
comme il les appelait, dans le numéro d'avril 1971 de "Pursuit",
son journal. Il réussit ensuite un bon coup de publicité lorsque son article intitulé
"Les douze cimetières du Diable autour du monde"
parut dans un numéro du magazine "Saga" en 1972.
![]() Trois chercheurs soviétiques, Nikolai Goncharov (historien), Vyacheslav Morozov (ingénieur en construction) et Valéry Makarov (spécialiste en électronique) publièrent un article parut en 1973 sous le titre "La Terre est-elle un énorme cristal ?" , dans la populaire revue "Khimiya i Jiz" (qui signifie "Chimie et Vie" en russe) de l'Académie des sciences de l'URSS. Effectivement, ils se rendirent compte que les douze vortex de Sanderson formaient un icosaédre lorsqu'on les reliait dans un espace tridimensionnel. Il s'agit d’une figure géométrique de forme sphérique qui possède vingt faces, dont chacune est un triangle équilatéral parfait. Ces chercheurs étaient d'avis que cette sorte de structure cristalline énergétique existe au sein de la Terre et ils lui donnèrent le nom de "matrice d'énergie cosmique". "Visitez ma Carte du Monde, où les points rouges représentent les sommets d'un isocaèdre, les points verts les sommets d'un dodécaèdre. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres points d'une même couleur", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences. |
3 300 sites anciens ![]() |
Les trois Russes (Nikolai Goncharov, Vyacheslav Morozov & Valéry Makarov) s'aperçurent
que l'icosaèdre (figure géométrique constituée de vingt faces de triangles
équilatéraux) et le dodécaèdre (figure géométrique composée
de douze faces pentagonales) sont complémentaires: chaque sommet de l'un, représente le milieu
de la face de l'autre, et vice versa.
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() "Visitez ma Carte du Monde, où les points rouges représentent les sommets d'un isocaèdre, les points verts les sommets d'un dodécaèdre. N'hésitez pas à effectuer un déplacement horizontal de l'image afin de découvrir les autres points d'une même couleur", Philippe Lopes, auteur d'ArboSciences. |
Champ de concordances ![]() |
Plusieurs lignes de fracture sismique, notamment les montagnes volcaniques sous-marines, coïncident
avec les lignes de cette "matrice d'énergie cosmique".
La dorcale médio-Atlantique en est l'exemple même, ainsi que certaines chaînes de montagnes
continentales comme le Mont Everest.
Tous ces effets pourraient bien être le résultat de l'action de courants de spin naturels dans le manteau terrestre. Les soixante-deux intersections, définies par le croisement de trois lignes de cet icosaèdre, seraient les zones où, d'une part, la pression atmosphérique offrent le maximum d'amplitude (minima & maxima), et d'autre part, la force géomagnétique présente également les écarts les plus forts. La présence des grands courants océaniques ainsi que des tourbillons marins, correspondent aux mêmes zones particulières d'intersections énergétiques de cet icosaèdre. Ce serait la poussée latérale de la force de gravité (courants spiralés de Nikolaï Kozyrev) qui entraînerait, d'une part, la roche en fusion selon des modèles de flux cycliques (effet géomagnétique), et d'autre part le déplacement des masses atmosphérique suivant (effet océanique). |
Grille planétaire ![]() |
Le couple américain ![]() Dans leur ouvrage "The Planetary Grid : A New Synthesis", le Dr William Becker et le Dr Bethe Hagens ont démontré que le vol KAL 007 (départ d'Anchorage, en Alaska, 1er septembre 1983 ![]() ![]() ![]() Il est possible que dans l'Antiquité certains jours de fête aient été choisis pour une raison particulière. En effet, l'alignement de la Terre avec certains astres au fil des saisons donnait peut-être aux atomes l'impulsion supplémentaire nécessaire pour franchir la limite de la vitesse de la lumière lors de ces journées spéciales. |
Lignes de Ley ![]() |
Au 20e siècle, sir Alfred Watkins a constaté qu'un grand nombre de sites architecturaux
en Angleterre ![]() "Les lignes de ley sont des alignements et des vecteurs de puissantes énergies terrestres invisibles censés relier divers sites sacrés, comme des églises, des temples, des cercles de pierres, des mégalithes, des fontaines sacrées, des lieux de sépulture et d’autres lieux d'importance spirituelle ou magique" Encyclopédie des expériences mystiques et paranormales, publiée chez Harper. "Les effets produits par ce type d'énergie sont, paraît-il, similaires à ceux de l'électricité statique, soit des sensations de 'frisson' sur la peau avec les poils qui se hérissent ... Un phénomène souvent rapporté lors des enquêtes est celui du fonctionnement erratique (dysfonctionnement irrationnelle) des appareils électroniques ... On constate souvent que des structures préhistoriques particulièrement importantes sont situées au croisement de deux ou plusieurs lignes de ley". Dans un article de Joseph Jochmans intitulé "La Terre, une planète de cristal ?" paru en 1996 dans un numéro du journal Atlantis Rising, Jochmans y révèle que de nombreuses cultures anciennes dans le monde avaient un intérêt tout particulier pour ces anciennes lignes droites. Les Irlandais ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Les aborigènes d'Australie ![]() Les anciens Polynésiens ![]() ![]() ![]() ![]() Les roues de médecine et les "kivas" (chambres rituelles circulaires) en Amérique du Nord occidentale sont également situées suivant des alignements rectilignes, et les constructeurs de tumulus dans les régions du Midwest et de la côte est des Etats-Unis ![]() |
Expansion géométrique de la Terre ![]() |
![]() ![]() Le décès en 1998 du scientifique de la NOAA Athelstan Spilhaus révèle l'existence d'un document qu'il publia en 1976, en faveur de la véracité des légendes Hopis. Athelstan Spilhaus, qui était un scientifique hautement décoré (rôle clef dans la défaite des forces hitlériennes), et un inventeur de génie (projet ultrasecret du ballon-sonde Mogul), rencontra au Centre de vol spatial Goddard de la NASA en 1976 le Dr Liu Hanshou. Liu Hanshou fut le premier à découvrir que lorsque le supercontinent Pangée se scinda il y a 220 millions d'années, il le fit le long de lignes équidistantes formant les arêtes d'une figure géométrique de forme pyramidale appelée tétraèdre. Athelstan Spilhaus lui fit remarquer que les continents, les dorsales volcaniques et les lignes de faille sismiques adoptent la combinaison d'un cube et d'un octaèdre. A partir de cette phase, la Terre changea à nouveau de forme pour adopter exactement la disposition redécouverte par Sanderson en 1971 ![]() ![]() |
Noyau cristalin ![]() |
En 1995, l'Université Carnegie-Mellon et l'Université de Pittsburgh mettent au point un
modèle informatique sophistiqué du noyau de la Terre à l'aide du Pittsburgh
Supercomputing Center, lequel révèle l'existence thérique d'un noyau cristalin
à 5 000 kilomètres de profondeur.
Le modèle Glatzmaier-Roberts de la NASA révèle la présence d'une structure géométrique régulière évoquant un cristal de forme dodécaédrique dans le noyau de la Terre tel qu'il est illustré sur la droite. ![]() ![]() Le Dr Hans Jenny constate que des motifs géométriques apparaissent tout naturellement dans un liquide en le faisant simplement vibrer. Dans ses recherches sur ce qu'il appelait des Cymatics, le Dr Jenny prenait de l'eau ordinaire et la remplissait de minuscules particules flottant librement auxquelles on a donné le nom de colloïdes. Ces particules ne peuvent couler au fond en raison de leur très petite taille, de sorte qu'elles restent en suspension dans l'eau. Lorsque le Dr Jenny faisait ensuite vibrer l'eau à différentes fréquences, les particules s'assemblaient immédiatement pour former de très belles figures géométriques tridimensionnelles. ![]() |
Cage et corde magnétique ![]() |
L'astrophysicien Tahar Amari (Ecole Polytechnique du CNRS, France) ![]() ![]() C'est la résistance de cette "cage" aux assaults de la corde qui détermine la puissance et le type d'éruption à venir. Tous ces phénomènes se produisent dans la couronne, la zone la plus externe du Soleil, en expulsant des bulles de plasma. ![]() Lors de la grosse éruption du 24 octobre 2014, des chercheurs avaient montré qu'une structure caractéristique, un enchevêtrement de lignes de forces magnétiques torsadées, apparaissait progressivement dans les jours précédents une éruption. Quelques heures avant l'éruption, la corde qui se développait était enfermée dans une "cage" magnétique multicouche. ![]() |
Complément d'informations ![]() |
REFERENCES
Investigations sur le champ de conscience unitaire Wilcock David Tome 1 & 2 - Editions Ariane 2012 |