Projet Haarp
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
Accueil  Arborescence  Page précédente

La petite histoire  Up Page
Arme climatique
L'idée qu'on puisse altérer le climat, est venue renforcer l'opinion que des ondes électromagnétiques pouvait engendrer des perturbations climatiques.

Comprendre simplement  Up Page
Hiver nucléaire
Une autre chose peut altérer le climat : des explosions nucléaires en haute altitude. On sait qu'à l'ouest comme à l'est il y en eut une demi-douzaine dans les années soixante, afin d'évaluer "l'effet EMP" electromagnetic pulse), capable de mettre HS les systèmes électroniques sur des aires très vastes.

Domaines de présence  Up Page
Micro-ondes
Il est possible de créer une couche ionisée réfléchissante, au dessus d'une vaste région. Tout dépend de la puissance. Nous savons que des générateurs de micro-ondes extrêmement puissants peuvent être mis en oeuvre. La puissance est en fait ... illimitée. Un radar est une source de micro-ondes. Les plus puissants peuvent atteindre un mégawatt, sauf erreur. Mais des systèmes fonctionnant par impulsion peuvent viser le térawatt, le million de mégawatt.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Energies impulsionnelles
Initialement on utilisait des batteries de condensateurs. Les premiers lasers de Livermore, en Californie, d'une puissance unitaire d'un térawatt (un million de mégawatts) étaient alimentés par une énergie primaire correspondant à la décharge d'une batterie de condensateurs totalisant dix mille joules. En 1976, on disposait d'un térawatt c'est-à-dire de 1012 watts, soit 104 joules qu'il fallait décharger en 10-8 seconde. Ces condensateurs occupaient un hall entier. On se servit de ce même principe, lors de la construction de l'aimant du Tokamak.
Par la suite ces système furent remplacés par des dispositifs beaucoup plus commodes, des "générateurs homopolaires". Le principe est simple. On lance le rotor d'un générateur électrique jusqu'à lui communiquer une énergie 1/2 I ω2. Puis on colle carrément ce générateur en court-circuit sur le système à alimenter, de faible impédance (par exemple un solénoïde). On peut alors produire des millions d'ampères pendant des temps très brefs: quelques dixièmes de seconde. Le rotor est soumis à un freinage très brutal. Mais le système est très commode au sens où cela prend moins de temps de relancer le mouvement d'un rotor que de recharger des condensateurs. Il y a encore d'autres systèmes, encore plus puissants, à "compression de flux", où grâce à la MHD on convertit une partie de l'énergie dégagée par une explosion chimique en énergie électrique.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
On nous cache tout
 
Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
Contribuer au Réseau Pepe
Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer.
Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil).

Mais encore …  Up Page
Ce que vous avez toujours voulu savoir
Ionosphère artificielle
Il est tout à fait possible d'envisager une action météorologique de grande ampleur en agissant, à l'aide d'ondes électromagnétiques sur une certaine région du monde et plus précisément sur sa haute atmosphère.
 
L'hiver nucléaire est un exemple-type de phénomènes d'une ampleur énorme provoqués par une cause minime, qu'ils s'agisse d'une guerre nucléaire ou de l'impact d'un météorite. L'hiver nucléaire prive la surface terrestre de l'apport d'énergie représenté par le rayonnement solaire. Cette rupture du flux peut perdurer pendant 12 à 18 mois, qui représente simplement le temps que des particules d'un micron de diamètre, emportées dans la haute atmosphère mettent à redescendre vers le sol. Quand on calcule le défaut d'apport d'énergie qui en résulte (avec son incidence sur le biotope, la photosynthèse, la météorologie, etc) et qu'on le compare avec l'énergie cinétique d'un objet comme une comête de plusieurs kilomètres de diamètre déboulant à quarante kilomètres par seconde on trouve que les effets sont des dizaines de fois supérieur à la cause.
 
De la même manière, si l'homme arrive à dépasser certains seuils en manipulant la haute atmosphère, il peut déclencher des tornades, les guider. Il peut provoquer des sécrétions diverses dans des organismes vivants, altérer gravement le fonctionnement de certains de leurs organes comme ceux qui assurent l'orientation des cétacés. Certains pensent que les échouages de cétacés "dont l'oreille interne serait attaqué par un virus" seraient en fait liés à des essais de localisation de sous-marins en plongée, à grande distance.
 
On a donc deux concepts qui se combinent. Celui de "miroir invisible" correspondant à l'altération de la haute atmosphère, la création d'une onosphère artificielle en faisant agir à partir de puissantes sources de rayonnement électromagnétique et celui d'effecteur, d'arme représentée par un faisceau susceptible de se réfléchir sur ce "miroir" et d'être ensuite renvoyé à grande distance sur un point donné du globe. Tout dépend de l'altitude à laquelle le miroir est formé. Avec un miroir stratosphérique on obtient une portée de plusieurs centaines de kilomètres. Si le miroir est installé dans l'ionisophère cette portée peut alors se chiffrer en milliers de kilomètres. Par ailleurs un même faisceau peut être réfléchi sur une succession de miroirs. Alors la porte devient illimitée.