Ondes de forme selon Karel Drbal
Karel Drbal
Aiguisoir de lames de rasoir
M. Bovis
Baron Reichenbach & De Rochas
Les références
Ravatin et Belizal
by Pepe ©

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La petite histoire Up Page
1959: Karel Drbal
Comment se fait-il qu'une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l'intérieur ? Pourquoi certains volumes émettent-ils une énergie d'origine inconnue et cependant mesurable ? C'est toute l'énigme des "ondes de forme" et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là.
Dans le dossier n°91304, au Bureau des inventions de Prague, il y a la description d'un appareil bien insolite qui est prosaïquement décrit comme "ustensile à usage d'aiguisoir de lames de rasoir". Le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal, bien connu en Tchécoslovaquie parce qu'il y fut, entre autres, responsable de la création du réseau national de télévision.

Selon l'ingénieur radiophonique de Prague (République tchèque République tchèque Karel Drbal, il existerait "une relation entre la forme de l'espace intérieur de la pyramide et les processus physiques, chimiques et biologiques qui s'y déroulent", bien qu'il ne comprît pas pourquoi il en é tait ainsi.
Comprendre simplement Up Page
Aiguisoir de lames de rasoir
L'aiguisoir est décrit comme une pyramide de carton ou de plastique qui mesure 23,40cm de côté sur 15,10cm de hauteur. Elle comporte une base carrée amovible, sur laquelle on la pose comme une cloche. Sur cette base sont dessinées les médianes, et à leur intersection se trouve un petit parallèlépipède de la taille d'une boîte d'allumettes. Il est spécifié que les dimensions de ce dernier n'ont pas une importance capitale mais qu'elles ne doivent toutefois pas excéder 6,50cm de hauteur. L'idéal est 5cm, ce qui correspond au tiers de la pyramide.
Pour utiliser le système, il faut une boussole, car on oriente la pyramide de façon que l'une des médianes se trouve très exactement sur un axe nord-sud. Il est aussi indispensable de procéder à distance de tout appareil électrique ou électromagnétique.
La lame de rasoir émoussée est poséé sur le socle de 5cm, les tranchants tournés face à l'est et à l'ouest. On place la pyramide sur sa base au-dessus de la lame et on attend six jours. La lame est affûtée. Drbal prend soin de préciser que, par la suite, "il suffit de la remettre dans la même position sous la pyramide pour qu'elle retrouve son fil du jour au lendemain !"
Selon Karel Drbal, ingénieur tchèque, "il semble que toute évolution chimique, physique, biologique de la matière se produisant dans un espace donné varie en fonction de la forme de cete espace. Pourquoi ? On l'ignore tout à fait. Mais force est de constater qu'en utilisant des formes appropriées, la pyramide, en l'occurence, on accélère ou on ralentit le processus ..."


En 2001, un scientifique russe, le docteur Volodymyr Krasnoholovets, a répété l'expérience des lames de rasoir de Drbal et il a prouvé – grâce à la photographie électronique – que la forme pyramidale pouvait modifier la structure moléculaire de l'arête d'une lame de rasoir.

Contrairement toutefois à la découverte de Drbal, la lame ne s'est pas effilée quand elle était en position nord/sud, mais, en position est/ouest, ses surfaces ont subi un effet mesurable, devenant bosselées et ondulées au niveau microscopique. Evidemment, une telle chose est impossible en science classique.
Domaines de présence Up Page
1950: M. Bovis
Modestement, Drbal, dans ses "Mémoires", avoue ne pas être tout à fait à l'origine de la découverte. Au début des années cinquante, raconte-t-il, un touriste français, M. Bovis, visite la pyramide égyptienne. Dans la chambre mortuaire, un fait l'intrigue. L'humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats, d'insectes et de rongeurs, sans doute morts après avoir pénétré et s'être perdus dans les galeries, n'ont pas pourri. Ils se sont littéralement momifiés.
Bovis se demande alors si l'architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques.
L'abbé Moreux, qu'il a lu, l'a déjà pressenti dans son livre sur "La Mystérieuse Science des pharaons."
Bovis relève soigneusement les rapports entre toutes les dimensions du monument, son orientation, etc. Revenu chez lui, il construit une pyramide à l'échelle de celle de Chéops et l'oriente semblablement. Toutes les pyramides du plateau de Guizèh (Gizeh), a-t-il noté, ont une médiane de base qui coïncide, à cinq secondes près, avec la ligne nord-sud. La précision est prodigieuse, et, sans doute, non dépourvue de raison.
Sous sa maquette, Bovis momifie un cadavre de chat et déshydrate un certain nombre de matières végétales et animales. Il en conclut que la forme de la pyramide et son orientation génèrent une énergie inconnue responsable de l'étrange phénomène.

En réalité, Antoine Bovis n'a jamais quitté la France. Il a construit chez lui, en France, un modèle en bois de la Grande pyramide, d'une hauteur de soixante-quinze centimètres, et il a affirmé (maladroitement) qu'il avait réussi à momifier un chat mort en le laissant au niveau de la chambre du Roi.
Son interprétation dans l'avenir Up Page
1850: baron Reichenbach
En fait, pas plus Karel que Bovis ne peuvent être considérés comme les premiers à avoir émis cette hypothèse. L'un et l'autre ont eu connaissance, de travaux bien antérieurs.

Dans les années 1850, le baron Reichenbach avait mis au point un pendule excluant tout action musculaire de la part de l'expérimentateur. A une certaine hauteur, le fil de l'instrument était enroulé un certain nombre de fois autour d'un cylindre fixe. Le manipulateur posait le doigt non pas directement sur le fil, mais sur le cylindre. Toute intervention musculaire même imperceptible, sur le pendule lui-même, était donc à exclure. Or, le pendule oscilla !

Personne ne reprit les travaux de Reichenbach, qui attribuait ce phénomène à une mystérieuse force appelé "Yod". Il mêlait un peu trop de mysticisme à de véritables expériences pratiques.

1905: colonel de Rochas
Vers 1905, le colonel de Rochas, déjà célèbre dans les milieux scientifiques internationaux pour ses travaux sur l'hypnotisme et le magnétisme humain, reprend les expériences de Reichenbach. Il pose une certitude: les énergies provenant des formes ne peuvent être rattachées au spectre électromagnétique. Mais il ne va pas plus loin, se contentant d'une communication à l'Académie des sciences, qui tombera dans l'oubli jusqu'en 1920, époque à laquelle l'ingénieur Turenne, puis Belizal, et les docteurs Chaumery et Morel reprendront ces recherches. L'ésotériste Enel, sous le nom duquel se cache un savant notoire, se joint à eux.
Les références Up Page
Réseau Pepe
Grand Livre des Enigmes Abonnements France Novembre 1997
Investigations sur le champ de conscience unitaire Wilcock David Tome 1 Editions Ariane 2012

Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.

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Ravatin et Belizal
Le mathématicien Jacques Ravatin, un scientifique français qui, de nos jours, essaie d'expliquer l'énergie "due aux émissions de formes", comme il l'appelle, déclare, à propos de ce dernier: "Il a sans doute été le premier à comprendre que les pouvoirs des formes relevaient d'un mode de pensée radicalement différent du nôtre. Plutôt que de se tourner vers les critères scientifiques du moment, il a considéré le problème du point de vue de la cabale hébraïque et des grands systèmes cosmogoniques de l'Inde et de l'Egypte anciennes. Cela lui a permis d'approfondir le sens des architectures sacrées qui sont, pour notre pensée matérialiste, rigoureusement incompréhensibles". Enel fut aussi le premier à soupçonner la relation entre émission agissant sur les cellules cancéreuses, celle que nous appelons "émission Cancer Enel"...
Belizal fait une curieuse constatation. Il se souvient que l'archéologue Carter, découvreur du célèbre tombeau de Toutankhamon, avait trouvé près du sarcophage une bague sur laquelle était gravé un signe étrange. Il la passa à son doigt. Coïncidence ou non: il fut le seul à ne pas être frappé par la terrible malédiction qui tua tous ses compagnons de fouilles.
Belizal émet également une hypothèse à partir, lui aussi, du livre de l'abbé Moreux sur "La Mystérieuse Science des pharaons". Les prêtres qui ont procédé aux funérailles de Toutankhamon connaissaient le pouvoir des formes et celui de la disposition des objets dans une chambre mortuaire. Tout était prévu pour une protection maximal de la momie, l'étrange relief, en particulier, qui épargna à Carter un sort tragique.
Belizal reproduisit le bijou et le porta en bague pendant quelques mois. Sa santé, chancelante auparavant, s'améliora considérablement. Ses affaires prospérèrent. Bref, toute sa vie quotidienne s'en trouva mieux.
Il eut l'idée de l'expérimenter sur des plantes et des animaux. Sur le végétal: effet bénéfique indéniable; sur un chat et des souris blanches: même chose. Il baptisa la forme du nom de Louksor, et en commença l'étude systématique, élargissant avec les années son champ de recherches  l'ensemble du mystérieux phénomène: pendules, mobiles divers, torsades métalliques, etc.
Enel et lui-même parvinrent à la conclusion que tout la statuaire, l'architecture et même le graphisme de certains civilisations de l'Antiquité obéissaient à ces lois des émissions de forces. Lignes, volumes, disposition, orientation ... tout était calculé pour générer un équilibre idéal, une intégration parfaite dans l'espace de certains lieux et de certains hommes privilégiés.
Le mathématicien Ravatin et son organisme de recherches, le groupe Ark'All, se demandent si ces formes d'énergies inconnues ne jouent pas avec des structures du continuum autres que celles prises en compte par notre science d'aujourd'hui.
"Avec les émissions d'énergies dues aux formes, conclut le célèbre parapsychologue soviétique Sergueïev, sans doute irions-nous beaucoup plus loin, si nous en savions davantage, qu'avec toute notre électricité et notre nucléaire. Il y a certainement des raisons pour que ces connaissances se soient ... perdues."