Homo néandertalien
Au menu d'un grand prédateur
L'usure constatée sur des dents d'homo Néandertalien, mise au jour entre 1967 à 1989, dans le village de Marillac-le-Franc, dans le sud-ouest de la France

Bien qu'une étude parue en 2013 ait dévoilé des preuves indiquant que les Néandertaliens enterraient délibérément leurs morts, selon les spécialistes, le site de Marillac-le-Franc n'était pas utilisé comme un lieu de sépulture.
Toutefois, une première étude publiée en 2015, avait révélée des traces de coupures & de fractures sur les ossements humains retrouvés à Marillac-le-Franc. Ces ossements avaient été manipulés intentionnellement.

Il avait été avancé l'hypothèse qu'il pouvait s'agir d'un acte de cannibalisme, ou encore de cérémonies rituelles.

Une étude réalisée en 2015 sur des ossements de Néandertaliens découverts en Espagne

Une seconde étude menée en 2017 suggérait qu'un grand carnivore préhistorique se serait nourri de restes de Néandertaliens il y a 65 000 ans.

Des chercheurs du CNRS avait noté en janvier 2018 qu'il était également possible que de grands carnivores aient ingéré ces restes humains, ce qui suggère qu'une relation très compétitive pourrait avoir été entretenue entre les premiers Hommes & d'autres grands prédateurs de leur époque.
Une espàce de hyène préhistorique aujourd'hui disparue, qui parcourait l'Europe

