Générateur de puissance autonome
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
Alors que des expériences synergétiques sont réalisées dans plusieurs laboratoire, un autre inventeur, Michel Meyer, est venu nous apporter un générateur d'énergie d'un principe différent, mais tout aussi intéressant. L'idée de base est assez simple et repose sur la conception actuelle du courant électrique: celui-ci n'est en fait qu'un transfert d'électrons qui passent d'un atome à l'autre sous l'action d'un champ électrique. D'une manière plus générale, tout mouvement de charges est un courant; dans les métaux, le cas est celui des courants de conduction où un mouvement de charges négatives, les électrons, est déclenché par la présence d'un champ. Mais, dès qu'il y a déplacement de particules chargées, il y a courant électrique. Comme la matière est faite d'atomes, eux-mêmes constitués d'un noyau positif entourés d'électrons négatifs, elle constitue un immense réservoir de charges.

Comprendre simplement  Up Page
Vulgarisation, de 7 à 77 ans
Tout le problème consiste à les mettre en mouvement car, en principe, les électrons sont en équilibre autour du noyau et il faut un apport d'énergie pour les envoyer se promener en grand nombre et dans le même sens. Cet apport d'énergie peut être la variation d'un champ magnétique _ processus mis en oeuvre dans les alternateurs, les transformateurs, etc. _ une réaction chimique _ piles et accumulateurs _ un rayon lumineux _ cellules photo-électriques _ et ainsi de suite. Mais cette énergie est toujours apportée de l'extérieur, ce qui est peu naturel si l'on considère que la matière renferme une énergie considérable.
Le générateur le plus intéressant n'est donc ni la dynamo, ni la cellule photo-électrique, li la pile, même si elle est atomique, mais l'engin qui saurait tirer directement sous forme électrique l'énergie contenue dans un métal. C'est là qu'intervient le schéma atomique de la mécanique ondulatoire, schéma mis à contribution par Michel Meyer.

Domaines de présence  Up Page
Monde présent
Nous retiendrons, pour comprendre l'invention de Meyer, que tout atome est un système oscillant dont la fréquence peut être connue avec précision. L'idée de base du générateur électrique repose sur l'utilisation d'une fréquence de résonance faisant, par altération du champ de liaison électron-noyau, diverger. Par diverger, il faut entendre que le rayon de cette orbite tend à croître indéfiniment, ce qui revient à dire que l'électron quitte le noyau. Pourquoi une fréquence de résonance ? Parce qu'il est connu depuis fort longtemps qu'en apportant à un système oscillant une énergie ondulant au même rythme, on amplifie ce mouvement aussi loin qu'on veut, et en général jusqu'à rupture. Le cas est resté célèbre du pont qui s'est effondré parce que les soldats l'avaient traversé au pas cadencé. Tout comme un verre de cristal se brise au moment où le ténor lance son ut de poitrine.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Monde futur
Le phénomène de résonance prend naissance non seulement avec la fréquence propre de l'oscillateur, mais avec toute fréquence qui en est multiple ou sous-multiple entier. Autrement dit, si un diapason standard donne le la à 440 périodes par seconde, on le met en résonance à la fréquence 440 Hz, et aussi bien à 880 HZ qu'à 220 Hz ou 110 Hz _ ce qu'on appelle les harmoniques d'une fréquence fondamentale.
Ainsi, tout système vibrant peut être mis en oscillation forcée jusqu'à rupture: il suffit de lui apporter un peu d'énergie sur sa propre fréquence. Pour l'atome, la fréquence issue des équations quantiques et ondulatoires est donnée par l'expression:
f=2.εo.ro.mo.c²/[c²(8.c.εo.h3/mo.e4)1/2],
où ro est le rayon de l'orbitale choisie, mo la masse de l'électron, c la vitesse de la lumière, εo la permittivité du vide, e la charge de l'électron et h la constante de Planck.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
Science & Vie janvier 1976 n°700
 
Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
Ce que vous avez toujours voulu savoir
En prenant le cuivre comme métal et son orbitale de conduction pour ro, on trouve une harmonique commode pour la fréquence de résonance à 172 753, 867 Hz. En pratique, elle est appliquée à une bobine pour donner un champ magnétique de même fréquence. Le métal choisi, le cuivre en l'occurrence, est plongé dans ce champ d'induction alternatif et, par résonance, les atomes de métal transformés en émetteurs d'électrons.
Il y a donc création d'un courant, ce qui à première vue n'a rien d'original. Ce qui est plus intéressant, c'est que le courant produit dans le cuivre est très supérieur au courant nécessaire pour entretenir la fréquence de résonance. Dans les meilleures conditions de montage, M. Meyer est arrivé à un facteur multiplicatif de 30 à 40: pour 1 W de puissance consommée à entretenir la fréquence, il récoltait à la sortie de 30 à 40 W directement utilisables.  En vertu du principe de conservation de l'énergie, il en résulte que le système se comporte comme un convertisseur qui puise son énergie au sein même de la matière; l'énergie de liaison noyau-électron est convertie en courant électrique. C'est donc bien un générateur de puissance autonome.