Flagrant délit en Grande-Bretagne
Faits marquants
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
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© En bref, une image révélatrice, un fait marquant ou une déclaration décalée.

Faits marquants  Up Page
Cellule Rockingham
On ne dispose à ce jour d'aucune information recoupée relative à la fabrication ou au stockage d'armes de destruction massive par le régime de Saddam Hussein après 1995. Tous les éléments nouveaux sont relatifs à des faits anciens, ou se sont avérés erronés lorsque les Nations Unies les ont vérifiés.
Si les gouvernements en place à Washington, Londres et Tel-Aviv étaient favorables à l'attaque militaire, il apparait que leurs services de renseignement respectifs travaillaient depuis plusieurs années à les convaincre de la menace irakienne.
 
L'existence d'un Bureau des plans spéciaux, installé au Pentagone, a été évoquée pour la première fois par le Washington Times, en janvier 2002. Ils ont été confirmés et complétés par un officier à la retraite, le lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski. Un des collègues de travail de Madame Kwiatkowsky, John J. Kokal, a été retrouvé mort dans des circonstances abracadabrantes le 14 novembre alors qu'il s'apprêtait à rencontrer des journalistes.
Suicide officiel de David Kelly
Le rapport du juge Hutton sur le présumé suicide du scientifique britannique David Kelly a été rendu public le 28 janvier 2004. L'enquête portait sur les circonstances de la mort du scientifique, survenue en juillet 2003, peu de temps après les révélations l'identifiant comme la source d'un reportage de la BBC accusant le gouvernement britannique d'avoir volontairement exagéré la menace posée par le régime de Saddam Hussein afin de justifier la participation du pays à l'invasion de l'Irak.
 
Une première lettre au quotidien britannique The Guardian, rédigée par trois médecins spécialistes, mettait en doute que les éléments de l'autopsie pratiquée sur le cadavre du Dr Kelly prouvent que celui-ci s'était suicidé, comme l'avait admis le rapport Hutton. Le 12 février 2003, dans une nouvelle lettre adressée au journal, trois autres médecins ont apporté leur soutien à cette thèse étayée par un rapport ayant nécessité cent heures de travail, qui examine point par point le verdict de l'autopsie. Sa conclusion indique qu'une artère du poignet sectionnée ne peut entraîner une mort aussi rapide, de même que la concentration en co-proxamol dans le sang de David Kelly n'était en aucun cas suffisante pour provoquer une intoxication mortelle. Ainsi, la thèse officielle sur la mort de l'expert David Kelly est, selon eux, contraire au savoir médical actuel. Pourquoi la commission Hutton s'est-elle alors empressée de travailler sur une hypothèse si improbable ?

Comprendre simplement  Up Page
Attentats de Londres du 07 juillet 2005
Témoignages
Dans un entretien accordé au journal britannique Cambridge Evening News, Bruce Lait, l’un des rescapés des attentats de Londres du 7 juillet 2005, et qui se trouvait dans le wagon où la bombe a explosé, a longuement témoigné des circonstances précédant et suivant l’explosion qui s’est produite non loin de la station de London’s Aldgate East.
"Les policiers m’ont dit : 'faites attention à ce trou, c’est là que la bombe se trouvait'. Le métal a été propulsé vers le haut comme si la bombe se trouvait en dessous du train. Ils avaient l’air de penser que la bombe avait été laissée dans un sac, mais je ne me souviens pas que quelqu’un se soit trouvé à l’endroit de l’explosion, ni même le moindre sac".
Un autre survivant a rapporté au journaliste du Guardian, Mark Honigsbaum, une version similaire de l’évènement, ajoutant que "le revêtement du sol du wagon s’est soudainement envolé, propulsé vers le haut".
Ces témoignages restés discrets contredisent la version officielle.
 
Horaire contradictoire
Nos amis de la British 9/11 Truth Campaign ont eu l’idée simple de comparer la chronologie officielle des faits avec les temps de transit et les horaires réels des trains du 7 juillet 2005, gracieusement fournis par la société qui gère le réseau ferré londonien. Une incohérence apparaît immédiatement.
La police britannique a affirmé que les « kamikazes » étaient montés à bord du train de 7 h 40, à Luton, en direction de King’s Cross, où ils seraient arrivés vers 8 h 20.
Or le seul train qui en réalité est arrivé à 8 h 20 à King’s Cross était celui de 7 h 24. C’est donc à bord de ce dernier qu’ils seraient montés… Cependant, si l’on se reporte à la photographie diffusée par Scotland Yard, l’horloge de la caméra de sécurité qui a les filmés à l’entrée de la station de Luton indique 7 h 21 (voir photo) et il est absolument impossible qu’ils aient atteint le quai en deux minutes, compte-tenu de l’agencement de la station.
 
Troublante simulation ...
Le matin du 7 juillet 2005, au moment des attentats de Londres, la société spécialisée en gestion de crise Visor Consultants organisait un important exercice de simulation d’attentats terroristes, au même moment et au mêmes endroits que les véritables attentats, qui n’est pas sans rappeler les simulations qui ont permis aux auteurs des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington de neutraliser les procédures de sécurité du contrôle aérien.
Il existe une interview de Peter Power (manager en chef de Visor Consultants) sur ITV, le 7 juillet 2005 ...

Domaines de présence  Up Page
Manipulation des médias
L'annonce fortement dramatisée par le ministre britannique de l'Intérieur, le 10 août 2006, de la découverte d'un complot terroriste à Londres a suscité la panique, puis la perplexité. Le journaliste allemand Jürgen Elsässer revient sur ce moment d'hystérie collective et sur le rôle du Mossad dans cette manipulation des opinions publiques en pleins bombardements du Liban.
Ces phantasmes de fin du monde sont motivés par un raid spectaculaire mené dans la nuit du 9 au 10 août en Grande-Bretagne et au cours duquel la police a arrêté dix-neuf soi-disant terroristes qui, si on croit le ministre de l'Intérieur britannique John Reid, se préparaient à commettre des attentats contre des avions et provoquer "un massacre d'une ampleur inconcevable", faisant "un nombre encore jamais vu de victimes".
La grande majorité des personnes arrêtées sont jeunes, bien intégrées dans la société et ne se sont pas caractérisées par une pratique religieuse très marquée. Ceci a provoqué un glissement dans l'imagerie de l'ennemi : ce ne sont plus les illuminés barbus ( "prédicateurs de la haine") qui sont dangereux, non, bien pire et bien plus difficiles à détecter sont les bombes à retardement vivantes qui se présentent sous la forme de notre voisin turc ou bien de notre collègue arabe.
Il n'y a pas que les armes prévues pour l'attentat qui manquent à l'appel. Les théories avancées de manière officieuse sur la manière dont les terroristes s'y seraient pris pour faire sauter les avions sont ridicules. Si l'on en croit la presse, il s'agirait de composants d'explosifs liquides qui auraient ensuite étés combinés à bord. Mais quels composants ? On nous parle de nitroglycérine et de nitrométhane - deux produits extrêmement dangereux qui peuvent exploser au moindre choc - comme le sait toute personne ayant vu le film Le Salaire de la peur. Le Spiegel, lui, penche plutôt pour le TATP, le triacétonetriperoxyde, car il est soi-disant facile à fabriquer à partir de solvant pour vernis à ongles et autres produits couramment disponibles en droguerie. Mais « Le TATP requiert beaucoup de temps pour sa fabrication, ce n'est qu'au bout de plusieurs heures que la poudre explosive se forme au fond de l'éprouvette. Par contre, d'innombrables accidents survenus lors du mélange des composants témoignent de l'instabilité mortelle de ce produit lors de sa fabrication ». Il faut donc croire que les terroristes envisageaient de s'enfermer pendant plusieurs heures dans les toilettes de l'avion ­ dans l'espoir que le cocktail mélangé ne leur pête pas entre les doigts avant d'avoir atteint la puissance requise. Et pour finir, et cette information n'est pas des moindres : comme nous en informe le Guardian de Londres dans son édition du 13 août, aucune des personnes arrêtées par la police n'avait réservé ni acheté le moindre billet d'avion. Alors pourquoi les soupçonne-t-on ? À cause de conversations téléphoniques et de courriers électroniques échangés. Voici un petit aperçu des éléments à charge : « Ils utilisaient des noms de code qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions, des expressions imagées comme, par exemple, "raisins secs", un terme qui est souvent utilisé en arabe pour désigner des explosifs ». En Allemand aussi, "raisins secs" est un nom de code. "Il chie des raisins secs" désigne trivialement une personne tatillonne, mesquine et veule qui se vend à la puissance du moment.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
MI-5
Le MI-5 ou Malitary Intelligence Section 5, service de contre-espionnage du Royaume-Uni, a été fondé en 1909. A cette époque, l'Allemagne et l'Angleterre rivalisaient pour se doter de la plus puissante et la plus moderne flotte militaire.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
Réseau Voltaire
 
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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