Explorateurs Celtes
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
Accueil  Arborescence  Page précédente

La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
Les transcriptions des archives de chefs vikings, effectuées vers 1180, mentionnent la présence de Celtes sur les terres américaines. Ce qui prouve, par surcroît, que les Vikings aussi "y étaient allés".

Comprendre simplement  Up Page
Explorateurs scandinaves
En 1970, sur les parois d'une grotte de Cerro Polilla, dans le Paraguay oriental, le Français Jacques de Mahieu découvrit des traces de caractères runiques, accompagnés d'un personnage barbu et casqué gravé dans le roc, et de silhouettes de drakkars vikings discernables sur le dessin d'une croix. Bien que ces inscriptions runiques fussent en grande partie rongées par le temps, Mahieu parvint à en traduire une phrase: "Dans l'étouffante forêt, le soleil et la marée nous ont apporté les trésors de notre héritage".
Selon la complexe théorie de Mahieu, des Vikings auraient commencé à se disperser à travers le Mexique et l'Amérique du Sud dès l'an 967, date à laquelle le Danois Ullmann et ses compagnons, faisant voile vers l'Islande, se trouvèrent dérivés de leur route jusqu'au Mexique. Longeant le Labrador, Leif arriva à Terre-Neuve vers l'an 1002.

Domaines de présence  Up Page

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Saint Olaf
Le jour, ils gouvernent en observant le Soleil, estimant la latitude à l'ombre portée par le navire sur les bancs de nage; la nuit, ils se guident sur la Lune et l'Etoile Polaire - quand ils la voient. Par temps de brume, ils "négocient" leur passage entre les icebergs à longueur de gaffe. Peut-être avaient-ils une boussole: la saga de saint Olaf, écrite entre 1015 et 1030, mentionne une "pierre qui oscille vers le nord", sans doute celle que mentionne un manuscrit chinois vieux de quarante siècles.
Le succès de la première colonisation du Groenland est dû à Eric le Rouge.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
Annales de Philosophie Chrétienne tome XXIII Société d'auteurs 1 841 n°23 Novembre 1841
Derniers Mystères du Monde Sélection du Reader's Digest
Science & Vie mars 1963 n°546
Science & Vie mai 1963 n°548
 
Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
Contribuer au Réseau Pepe
Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer.
Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil).

Mais encore …  Up Page
La légende des géants
Dans ses Commentaires royaux de l'origine des Incas, Garcilaso de la Vega, fils d'une princesse inca et d'un conquistador, rapporte que vers l'an 1500, dans la région de Manta, en Equateur, l'Inca Huayna Cápac trouva une tradition relative à des géants arrivés par mer dans la nuit des temps.
 
"Un jour apparurent un grand nombre de radeaux de joncs ... manœuvrés par des êtres si grands qu'un homme normal leur venait à peine aux genoux, mais toutefois parfaitement proportionnés. Ils étaient tous barbus; leur chevelure leur tombait sur les épaules, et ils avaient des yeux grands comme des soucoupes."
 
Ces visiteurs, bien que vêtus de simples peaux de bêtes, firent montre de leurs compétences techniques dans la construction des maisons et le creusement de puits artésiens.
 
Selon une tradition indienne mentionnée dans un ouvrage jésuite de 1613, des prêtres auraient parcouru l'Amérique du Sud dès le XIIIe siècle, à la suite d'une prétendue rencontre avec l'Inca Manco Cápac.