Lettrines ArboSciences

Explorateurs asiatiques aux Amériques

L'an 250-900: L'art asiatique au Mexique


L'art de modeler la terre glaise et le stuc se doublait d'un don particulier pour le travail du bois. Les célèbres panneaux en bas relief du musée de Bâle Suisse, recueillis à Tikal Mexique, et la magnifique et rarissime statue de l'homme moustachu aux bras croisés que conserve le Metropolitan Museum de New York United States nous font regretter plus intensément encore que le climat très humide de la forêt tropicale habitée par les Mayas ne nous ait pas conservé sculptures en bois, textiles et ornements de plumes.

Par bonheur, nous pouvons nous délecter des très nombreux vases peints, des céramiques polychromes de la période classique, ainsi que des poteries incisées, où sont représentées des scènes mythologiques, à moins qu'il ne s'agisse de simples portraits de souverains _ mais n'oublions pas que ceux -ci étaient respectés tels de véritables dieux !

L'an 458 : Des Chinois au Mexique, Pérou & Etats-Unis

George Louis Leclerc comte de Buffon (1707-1788) France, dans son "Discours sur les variétés de l'espèce humaine", avait reconnu, comme le baron von Alexander Humboldt (1769-1859) Allemagne l'a vu aussi postérieurement, que les peuplades du nord-ouest de l'Amérique United States, et même du Mexique Mexique, avaient dû venir de la Tartarie Mongolie et de l'Asie centrale; et, s'appuyant sur les nouvelles découvertes des Russes Russie, il traçait la route suivie par ses Asiatiques, les faisant arriver au nord-ouest de la Californie United States, à travers le Kamtchatka (ou presqu'île de Kamtchatka) Russie et la chaîne des îles Aléoutes United States.

De son côté, Mr de Guignes, compulsant les annales de la Chine Chine et par elles éclaircissant toutes nos origines européenes, y trouvait un fort curieux mémoire sur le pays de Fou Sang, ou pays de l'Orient extrême. Dans un savant travail inséré au tome XXVIII des "Mémoires de l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres", il prouvait, autant qu'on le pouvait faire alors, que ce pays de Fou-Sang, connu dès l'an 458 après J.-C., riche en or, en argent et en cuivre, mais où manquait le fer, ne pouvait être autre que l'Amérique.

L'an 459 : Des Chinois au Mexique

Un érudit pékinois Chine soutient que cinq Chinois Chine atteignirent dès 459 le Mexique Mexique par bateau, influençant ainsi la culture aztèque.

Des bouddhistes, partis de Chine Chine, atteignirent peut-être le Mexique Mexique, au terme d'un long périple via le Japon Japon et l'Alaska United States. Ce périple fut certainement accompli par Hui Shen et quatre autres moines bouddhistes, en 459 de notre ère. Partis à la recherche du Fusang, paradis terrestre que la légende situait de l'autre côté de l'océan Oriental, entraînée par le Kuno-Shio, courant chaud se dirigeant vers l'est, du Japon Japon jusqu'en Californie United States, leur jonque dut décrire un grand détour par le Pacifique Nord.

Ce trajet, bien qu'exposé à de fréquentes tempêtes, ne comportent pas de longues traversées en haute mer, sauf sur les 300 kilomètres qui séparent le Kamtchatka (ou presqu'île de Kamtchatka) Russie des îles Alouétiennes United States. Ayant atteint l'Alaska United States, la jonque descendit probablement le long de la côte jusqu'au Mexique Mexique.

Les Chinois Chine trouvèrent là un peuple évolué, possédant un système d'écriture, "mais il n'a ni citadelles ni cités fortifiées ... et il ne fait pas la guerre". Ils découvrirent l'arbre du Fusang, "qui a des pousses comestibles comme le bambou. Le fruit, qui ressemble à une poire, est rougeâtre. On file la fibre de l'écorce pour en faire une toile grossière et aussi un tissu plus fin. Le bois sert à bâtir des maisons, et l'écorce du Fusang sert à faire du papier."

Ces notations correspondent à l'âge d'or de Teotihuacán Mexique, au cours de la période classique du Mexique précolombien (500 av. J.-C. - 1000 ap. J.-C.), qui vit les pacifiques adorateurs du Soleil édifier de vastes cités dépourvues de murs d'enceinte. Bien que l'agave du Mexique, unique au monde, ne porte pas de fruits rougeâtres, on peut prendre pour un arbre sa hampe florale ramifiée, haute parfois de 10 mètres. Ses bourgeons ressemblent bien à ceux du bambou et sont consommés; la plante fournit un filament rude qu'on transforme à la fois en textile grossier et en toile plus fine, et la fibre est utilisée pour la fabrication du papier.

Hui Shen, tel un Marco Polo asiatiaque, demeura au Fusang pendant quarante années et revint en Chine Chine avec livres de soie provenant de l'arbre merveilleux, dont il fit présent à l'empereur Han. Sa relation de voyage fut déposée dans les archives impériales, et les historiens chinois en publièrent des extraits au cours des siècles suivants, jusqu'au XVIIIe siècle.

En 1974, huit jeunes gens résolurent de mettre à l'épreuve la vraisemblance d'une telle expédition et s'embarquèrent à Hong Kong Hong-Kong, sur une jonque chinoise, à destination du Mexique Mexique, en passant par le Pacifique Nord. L'organisateur de l'aventure, Kuno Knöbl, avait été frappé par la bizarre similitude existant entre l'antique méthode des cordelettes à nœuds que les Vietnamiens Vietnam utilisaient pour transmettre des messages et les cordelettes à nœuds, ou quipu, dont les Incas se servaient en guise d'écriture. La jonque surmonta tous les périls de la mer, mais les jeunes navigateurs durent s'avouer vaincus par un mollusque marin qui infecta la coque et dévora littéralement l'embarcation.

L'an 499 : Des Chinois au Pérou & aux Etats-Unis

Suivant le samanéen ou le moine bouddhiste, qui fit connaître le Fou-Sang aux Chinois Chine, en 499 de notre ère, ce pays était à la fois à l'Est de la Chine, et également à l'Est d'une contrée demi-sauvage connue, dans les livres chinois sous le nom de pays de Ta han ou des grands Hans, nom appliqué déjà auparavant à la dynastie chinoise des Hans, établie en 206 avant notre ère après celle des Tsin.

Mais, d'après les relations chinoises, sur ce pays de Ta-han, où l'on pouvait aller, soit par mer, en partant du Japon Japon et se dirigeant au nord-est; soit par la terre, en partant du coude très prononcé vers le nord, que fait le grand fleuve Hoang-ho, dans le pays des mongols Mongolie, et passant au sud du lac Baïkal Russie, et se dirigeant ensuite également au Nord-Est, ce pays, très éloigné de la Chine Chine, ne peut être que le Kamtchatka (ou presqu'île de Kamtchatka) Russie, aussi nommé pays de Licou-kouey, ou Lieu d'exil des hommes pervers dans d'autres Géographies chinoises.

Une rivière de l'Amérique du nord est encore appelée Rivière mine de cuivre. Or, au Pérou Pérou, le cuivre y est très abondant. Ce Samanéen nous apprend, en outre, que les habitants du Fou-Sang nourrissent des troupeaux de cerfs et font du fromage de lait des biches; et, dans les Encyclopédies chinoises Chine et japonaises Japon, comme aussi dans le Pian-y-tien, si l'on donne la figure d'un habitant du Fou-Sang, on le dessine, en effet, occupé à traire une biche, à petites taches rondes; c'est même là, dans les deux encyclopédies, ce qui forme la caractéristique de cette contrée du Fou-Sang.

Déjà Philostrate, dans la Vie d'Apollonius, avait cité, dans l'Inde Inde, des peuples nourrissant des biches pour leur lait, et la chose n'est pas assez commune pour ne pas être remarquée; mais ces troupeaux de biches ont aussi été retrouvés en Amérique de nos jours; car Valmont de Bomare, article Cerf, dit: "Les Américains United States ont des troupeaux de cerfs et de biches, errant le jour dans les bois et le soir rentrant dans leurs étables. Plusieurs peuples d'Amérique, n'ayant point d'autre lait, ajoute-t-il, que celui qu'ils tirent de leurs biches, et dont ils font aussi du fromage."

L'an 558 : Des Chinois au Mexique & en Californie

Le baron von Alexander Humboldt (1769-1859), dit aussi Mr Paravey Allemagne, a montré dans trois Dissertations, qu'en l'an 558 de notre ère, c'est-à-dire 1 000 ans avant Christophe Colomb Espagne, les Indiens du Caboulistan Chine allaient au Mexique Mexique par le Kamstchatka (ou presqu'île de Kamtchatka) Russie, où ils embarquaient pour la Californie United States, ce qu'avait nié Mr Klaproth, et qu'ils y ont porté l'art de la cochenille et le culte du Bouddha.

De 1403 à 1433 : Des Chinois à Porto Rico & en Guadeloupe

Une dépêche de l'Agence Reuters en date du 9 mars 2002 nous apprend que l'histoire officielle pourrait bien encore une fois être remise en question. On savait déjà que Christophe Colomb Espagne n'avait certainement pas découvert l'Amérique, voilà qu'une nouvelle confirmation pourrait en être donnée, mais avec cette fois des découvreurs inattendus: les Chinois Chine.

Gavin Menzies Royaume-Uni, un ancien commandant de sous-marin de la Royal Navy, a travaillé à partir de cartes d'époque. D'après lui, l'existence de l'Amérique était connue des Chinois Chine au moins 70 ans avant Colomb Espagne. Les théories de notre historien amateur sont même considérées comme plausibles par les historiens professionnels.

Selon Menzies Royaume-Uni, il aurait existé en 1424 une carte de l'Europe et de l'Amérique montrant Porto-Rico Porto-Rico et la Guadeloupe Guadeloupe. Cette carte aurait été établie par deux amiraux de la flotte de l'amiral Zheng He au cours de sept voyages d'exploration effectués entre 1403 et 1433.

La flotte de Zheng He aurait atteint l'Afrique de l'est et le Cap de Bonne Espérance, et serait même allée jusqu'en Amérique latine, aux Caraïbes et en Australie Australie, effectuant ainsi un premier tour du globe un siècle avant Magellan Portugal.

Les Occidentaux auraient pris connaissance de la carte grâce à des Portugais Portugal qui la tenaient de Nicolo da Conti, un voyageur italien Italie ayant participé à certaines des expéditions chinoises Chine. Menzies ajoute que des éléments de cette carte, dessinée en 1428 et aujourd'hui perdue, étaient connus à l'époque et qu'ils avaient été recopiés sur d'autres cartes qui faisaient figurer des "bouts" des continents américain United States et australien Australie, bien avant qu'ils ne soient "redécouverts" par Christophe Colomb Espagne, Ferdinand Magellan Portugal ou James Cook Australie.

De 1405 à 1432 : Des Chinois en Afrique & aux Amériques

De 1405 à 1432, le navigateur Zheng He a bien accosté en Afrique. Selon certains, il ne se serait pas arrêté en si bon chemin. L'avocat Liu Gang Chine dévoile une carte ancienne, jamais montrée au public, qui pourrait établir que les Chinois ont découvert l'Amérique en 1418.

L'historien anglais Gavin Menzies Royaume-Uni pense que Zheng He aurait tout simplement "découvert" l'Amérique plusieurs décennies avant Christophe Colomb Espagne et aurait même emprunté le détroit qui porte aujourd'hui le nom de son lointain successeur, Magellan Portugal.

Cette carte daterait de 1763, mais elle serait la réplique exacte d'un original tracé en 1418.

Peu d'historiens, même en Chine Chine, sont convaincus. Les archives de l'époque ayant brûlé, aucune preuve tangible ne vient valider sa thèse.

Si l'on sait que l'Empire chinpis Chine a étendu ses frontières terrestres de la Mandchourie jusqu'au Vietnam Viet-Nam, on a longtemps oublié qu'il avait aussi connu sa période de "grandes découvertes".

Entre 1405 et 1433, l'eunuque Zheng He fut en effet envoyé sept fois par les empereurs Yongle puis Xuanzong dans les mers du Sud, à la tête d'une flotte composée des plus grands bateaux en bois de l'époque.

L'amiral alla jusqu'à l'Inde Inde, la mer Rouge, la côte Est de l'Afrique et même Java ndonésie. L'aventure cessa, sans doute pour des raisons budgétaires. Les Ming, par crainte de l'étranger, ne développèrent guère le commerce maritime et la Chine se referma graduellement.

Avant 1492 : L'art asiatique aux Amériques

De nombreux archéologues et historiens d'art ont noté l'extraordinaire ressemblance de l'art péruvien Pérou avec l'art chinois tchéou Chine, de l'art maya ancien avec les arts hindou Inde et indonésien Indonésie, de l'art maya récent avec l'art khmer ambodge, ressemblances parfois poussées jusqu'à la quasi-identité.

Or, ces ressemblances sont très diverses et indiquent donc des apports asiatiques effectués à des siècles d'intervalle. Autant dire  que si l'Europe et l'Orient ont découvert l'Amérique trois ou quatre fois, l'Asie ne l'a pas découverte moins souvent.

L'autodafé volontaire (destruction par le feu) des anciens livres par Mao Tsé Toung en Chine Chine a conduit plus de cent millions de civils à la mort pendant la "révolution culturelle", allant même jusqu'à interdire l'acupuncture et en règle générale toutes les connaissances venues du passé.

Avant 1492 : L'art chinois en Amérique du Sud

Similitude entre la Lune et le lapin, tant dans l'art chinois que dans l'art précolombie Similitude entre la Lune et le lapin, tant dans l'art chinois que dans l'art précolombie
Les Chinois ont longtemps cru qu'il y avait un lapin dans la Lune.

Idée bizarre.

Toutefois, les mythologies précolombiennes d'Amérique centrale représentent aussi un lapin dans la Lune.

Cela seul ne peut suffire à prouver l'origine mongoloïde Mongolie des populations américaines anciennes United States, qui n'a d'ailleurs pas besoin d'être prouvée, mais c'est un point de plus qui la conforte.

L'an 1 537 : L'art japonais en Colombie

Dans une lettre adressée à la Société asiatique et publiée en 1829 dans la Quotidienne, le baron von Alexander Humboldt (1769-1859), dit aussi Mr Paravey Allemagne, signale chez les Muyscas du Plateau de Bogota Colombie en Amérique, l'usage du cycle de 60 ans et des institutions analogues à celles du bouddhisme du Japon Japon.

Des découvertes similiaires avaient déjà été rapportées par Mr de Siéboldt Allemagne, entre ces mêmes Japonais Japon et ces mêmes Muyscas du plateau de Bogota Colombnie (dans la partie nord de l'Amérique du Sud, vers Maracaibo et Rio de la Hacha.

Le baron von Alexander Humboldt (1769-1859) Allemagne onbserve que les peuples à demi-civilisés, trouvés en 1537, par le conquérant Quésada Espagne, sur le riche et haut plateau de Bogota Colombnie, devaient avoir les rapports les plus intimes avec les peuples du Japon Japon.

Comme ces derniers, ils étaient vêtus de toile de coton, arbustes qu'ils cultivaient; comme eux, ils étaient réunis en communes et récoltaient de riches moissons de céréales; comme eux, ils étaient soumis à deux souverains à la fois, l'un pontife suprême et rappelant le "Daïri" du Japon Japon, l'autre roi séculier analogue au "Djagoun", ou roi actuel du Japon; comme les Japonais Japon encore, ces peuples de la Nouvelle-Grenade employaient dans leur calendrier hiéroglyphique, et d'une composition assez compliquée, des cycles, ou séries de jours et de nombres, combinés deux à deux, et notamment ils avaient la période de soixante ans, qui seule suffiraient pour dénoter une origine asiatique; enfin, dans la langue "chib-cha", parlée par ces peuples de Bogota Colombie, manquait le son de la lettre L, comme il manque aussi dans la langue du Japon Japon.

Au Japon Japon, comme à la Nouvelle-Grenade chez les Muyscas Colombie, le cinquième jour était exprimé par l'idée fort complexe, ou l'hiéroglyphe, de la conjonction du soleil et de la lune. Le quatrième jour offrait, des deux côtés, des idées de "portes", qui sont précisément la signification du "daleth" des Hébreux, sans cesse employé pour le nombre "quatre", dont il a même la même figure; le second jour offrait des idées d'enclos et d'entourage, comme les présente aussi le "beth" des Hébreux, et le symbole du deuxième caractère du cycle au Japon Japon; enfin le nombre "un", à la Nouvelle-Grenade Colombie comme au Japon Japon, offrait également des idées d'"eau" et de "tétard", de "grenouille", ou de "fils, enfant", qui, chez les anciens EgyptiensEgypte, nous dit Horapollon, se rendait également par une "grenouille naissante".

Mr de Paravey ou baron von Alexander Humboldt (1769-1859) Allemagne, dès 1826, compara les noms mêmes "Ata, Bosa, Mica ..., Hisca, Cuhuppa", des nombres "un, deux, trois, cinq" et "sept" du cycle des Muyscas, aux sons A, B, C, E, et Z ou G, qui répondent aux mêmes nombres 1, 2, 3, 5, 7, dans l'alphabet phénicien ou hébreux, et il trouvait en outre, comme on vient de l'exposer, les mêmes sens hiéroglyphiques pour plusieurs d'entre eux; mais il ne pensa point alors à comparer ces mêmes nombres des Muyscas Colombie aux noms du cycle des dix jours des Japonais Japon; et c'est ce que Mr Siéboldt Allemagne, savant qui marche sur les traces de Mr de Humboldt Allemagne, vient de faire au Japon Japon même et à Nangasacky (Nagazaki ?), où il se trouve.

Mr de Siéboldt Allemagne remarquant donc que les noms des jours japonais Japon se terminaient, sauf le premier, tous en "ka", ainsi que cela a lieu pour 7 des nombres muyscas Colombie sur 10; remarquant en outre que "fito", qui signifie "un" en japonais Japon, est très voisin de "ata", nombre "un" en muyscas Colombie, que "foutsca" ou "boutsca", "deux" en japonais Japon, est évidemment "bosca" ou "bousca", "deux" chez les Muyscas Colombie; que des deux côtés "mica" signifie également "trois", et que "itsca" Japon et "hisca" Colombie pour "cinq" étaient encore avec évidence le même mot, tandis que "aca", "neuf" en muyscas Colombie, est la simple abréviation de "conoca", c'est-à-dire "neuf jours" en japonais Japon; il en conclut, et avec lui tous les bons esprits l'auraient fait également, que ces deux peuples avaient une même origine.

Le nom même de la langue des Muyscas Colombie, qui se nomme le "chibcha" ou la langue des hommes Chib ou Sib, "cha" en muyscas Colombie, signifiant homme; ce qui est le "sa" des Japonais Japon, signifiant également homme, que ce nom, disons-nous, est le même que celui de la langue japonaise Japon, qui au Japon, encore actuellement, s'appelle aussi le "sewa" ou "siwa", d'où facilement a pu venir le nom "chib" de la langue chibcha Colombie.