Castle (Cratère Joliot-Curie, Lune)
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
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La petite histoire  Up Page
Genèse de l'affaire

Tout débute dans un article paru dans le Paris-Match n°1028 du 18 janvier 1969, relatant l'épopée qui se déroula sur la Lune en décembre 1968 sur Apollo 8, et qui fut observé àe l'identique par l'équipage d'Apollo 10. Plusieurs témoignages, émanant de personnes et de sources différentes, viennent corroborer une bien étrange affaire. Tout converge vers une anomalie concordante.

Comprendre simplement  Up Page
Superstructure
Serge Boisse, ingénieur aéronautique, propose une analyse pointue et critique des causes éventuelles à cette anomalie.
 
"Contrairement aux images numériques prises par les sondes spatiales, les 'vraies' photos sont des objets physiques qui peuvent être pollués par les manifestations ultérieures, volontaires ou non. Ma conclusion provisoire est que l'artefact publié dans Paris Match peut avoir quatre origines "
a) Une rayure ou une pollution (graisse, morceau de cheveu, etc.) sur le négatif ou sur l'épreuve qui a servi à la photocomposition.
b) Un objet réel situé sur la Lune, dont les dimensions seraient gigantesques.
c) Un objet spatial, situé entre Apollo et la Lune au moment où la photo a été prise.
d) Une trace sur le hublot d'Apollo.
 
"L'attitude à adopter dans un pareil cas est le doute systématique: l'hypothèse la plus probable est a) ou d). Dans ce cas, il n'y a plus de mystère. Si une autre photo disponible montrait le même artefact, évidemment, il faudrait remettre en cause cette conclusion provisoire."

Domaines de présence  Up Page
Vaisseau

L'analyse au pixel près fait resortir une structure aux dimensions hors norme: l'aspect d'un demi porte-avions de près de 26 km de long, dont la partie centrale serait constituée de sphères de 4 km de diamètre, surmontée d'une sorte de flèche gigantesque.
 
La photo prise à l'identique par Apollo 10 relance le débat sur l'authenticité de l'anomalie observée par Apollo 8.
 
Après le départ de Cap Kennedy le 25 décembre 1968, soit 93h02, le commandant Lowell du vaisseau fera la déclaration suivant, avant de rejoindre Houston: "On vient de nous informer que le Père Noël existe bien". Le même type d'information (car codée pour ne pas être comprise) a été prononcé par l'astronaute Wally Shirra à bord de Sigma 7 en octobre 1962. Les dires de ce dernier sont confirmés par l'analyse en temps réel de son rythme cardiaque qui atteint subitement 120 pulsations minutes (au contr&oci;cle télémétriques). Battements qui été restés inchangés lors des 93 heures de vol spatial.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Témoignages authentiques
"J'ai eu en main en 1991 les originaux des photos concernées, remises à un ami à moi par une personne de la NASA. Ces photos étaient nombreuses (environ une dizaine) et partaient de la face globale de la Lune pour arriver à un zoom de ce qu'on pourrait qualifier de réservoirs ou de citernes sur les côtés de l'objet. Depuis je cherche désespérément à retrouver des photos de la zone en question mais visiblement tout a disparu ... on se demande pourquoi ?"
Enquêteur de la revue d'ufologie LDLN

Les références  Up Page
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Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
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Mais encore …  Up Page
Apollo 10

Richard Hoagland Voici la photo originale prise par la sonde Apollo 10 (référence: AS10-32-4822), où l'on peut apercevoir le superstructure en position verticale. Là où la sonde Apollo 8 avait prises une photographie presque à l'identique en position horizontale. Richard C. Hoagland, auteur et responsable d'un site américain la mentionnera en 1996.
Il se trouve que le "Castle" (ainsi a été baptisée la structure en question par Richard Hoagland) se trouvait alors à 9 miles au-dessus du sol lunaire.