Bouclier anti-givre
La petite histoire Comprendre simplement Domaines de présence Son interprétation dans l'avenir Les références Mais encore … |
by Pepe © Accueil Arborescence Page précédente |
![]() |
La petite histoire Up Page Catastrophe climatique Janvier 1998. Le verglas s’abat sur le sud du Québec depuis cinq jours. Les pylônes électriques tombent comme des dominos sous le poids de la glace. La moitié de la province est plongée dans le noir. |
Comprendre simplement Up Page Premier revêtement glaciophobe Pour Masoud Farzaneh, titulaire de la Chaire industrielle sur le givrage atmosphérique des équipements des réseaux électriques (CIGELE), à l’Université du Québec à Chicoutimi, la tempête de verglas représente une "occasion extraordinaire" d'innover dans un revêtement anti-givre. Dix ans plus tard, l’ingénieur a mis au point un revêtement qui pourrait limiter grandement les dégâts lors de telles catastrophes. "Nous avons étudié la mince pellicule qui recouvre les feuilles de lotus et les ailes de papillon. Celles-ci ne sont jamais mouillées. Les gouttes de pluie glissent ou rebondissent carrément", explique le professeur Farzaneh. |
Domaines de présence Up Page Comme la nature Dans son laboratoire _ le plus grand centre de recherche sur le givrage au monde, équipé de machinerie capable de reproduire les tempêtes les plus glaciales _ l’équipe a découvert que les pellicules qui protègent les feuilles de lotus et les ailes de papillon sont dotées de reliefs ressemblant vaguement aux tapis de clous des fakirs. Les gouttes d’eau qui y atterrissent créent des contacts avec quelques "clous" en saillie, mais ne restent pas à la surface. En décapant chimiquement la surface de métaux, de polymères ou de céramiques, ou en y déposant des nanoparticules, les chercheurs ont tenté de reproduire ces reliefs hydrophobes observés dans la nature. Et ils ont réussi. Des gouttes de pluie simulées en laboratoire avaient beau tomber les unes après les autres sur les nouveaux revêtements, elles n’y adhéraient pas. Une mauvaise surprise attendait cependant les chercheurs. Lorsqu’ils ont reproduit les mêmes expériences dans leur laboratoire à une température inférieure au point de congélation, les gouttes d’eau gelaient immédiatement au contact des revêtements et restaient bien accrochées à la structure. "Les mécanismes d’adhésion de l’eau ne sont pas les mêmes que les mécanismes d’adhésion de la glace", résume le professeur. |
Son interprétation dans l'avenir Up Page Monde futur |
Les références Up Page Réseau Pepe Cybersciences février 2009 Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Mais encore … Up Page Ce que vous avez toujours voulu savoir |