Biophotonique
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La petite histoire Up Page L'information lumineuse ![]() Bien que sa découverte soit maintes fois confirmée, deux voix manqueront pour faire de lui un prix Nobel. 1950. Des biophysiciens russent découvrent, à l'aide de photomultiplicateurs - dispositif permettant de détecter et de compter les photons individuellement - une émission de photons ultra ténue issue de systèmes biolgiques. Les chercheurs publient les résultats dans Biophysics (Biofizika) en établissant le lien avec la croissance de la cellule, mais sans faire le rapprochement avec le rayonnement mitogénétique de Gurwitsch. Ils prouvent que le rayonnement émane de tous les êtres vivants et que son intensité semble décliner avec leur développement. Ils observent également les prémisses d'une corrélation entre le cycle cellulaire et l'émission de photons. Par la suite, des physiciens italiens mettent en évidence une "bioluminescence" à partir de germes de céréales alors qu'ils réalisent des mesures physiques à partir de leur photomultiplicateur. |
Comprendre simplement Up Page Naissance de biophotons Ce sont finalementle biophysicien russe Zhuralec et le biochimiste américain Seliger qui, au début 1970, publieront la première hypothèse de travail à propos de ce phénomène. C'est la Théorie de l'Imperfection: le rayonnement serait dû à la variation de l'équilibre thermique et des perturbations métaboliques qui s'ensuivent. A la même époque, idépendammant les uns des autres et pour des motivations totalement différentes, des Australiens (Quickenden), Allemands (Fritz-Albert Popp), Japonais (Inaba) et Polonais (Slawinski) mettent à leur tour en évidence cette émission de lumière extrêmement faible. Alors que la majorité des chercheurs travaillent sur la base de l'Imperfection, les Allemands, autour du physicien docteur et agrégé Fritz-Albert Popp,de l'université de Marburg, développent une hypothèse dont voici les postulats: 1) Le rayonnement est issu d'un champ électromagnétique cohérent présent dans les organismes vivants. 2) L'ADN et ses résonateurs - capacité à absorber une onde électromagnétique et à émettre de nouveau - sont la source de ces biophotons. 3) Le mécanisme trouve sa source dans le processus de stockage de lumière (par exemple dans les cavités de résonance) et les canaux de transmission d'informations correspondant. 4) Il existe un lien avec le retard de luminescence (rayonnement rémanent après excitation par une source externe de lumière) des organismes vivants. 5) Le rayonnement coordonne l'ensemble des processus chimiques des cellules (communication intracellulaire) et transmet des informations également à,travers les cellules (communication intercellulaire). 6) Le rayonnement s'étend dans le spectre lumineux, dans lequel est compris le fameux "rayonnement thermique" du système biologique. 7) Le rayonnement est le régulateur et le canal d'informations chez les êtres vivants. Le groupe de Marburg baptise le phénomène "biophotons" - pour souligner la différence avec la "bioluminescence" bien connue. Il s'agit d'un phénomène quantique: des photons uniques sont émis en continu par tous les êtres et, de ce fait, font partie des propriétés fondamentales de tout système vivant. |
Domaines de présence Up Page Postulats vérifés Depuis cette époque, la fin des années 1970, le fait que ce rayonnement soit issu de l'ADN - deuxième postulat dès 1970 - et le fait que ces photons transportent de l'information - cinquième postulat - ont tous deux été prouvés. De la lumière ultra ténue issue de l'ADN transporte bien de l'information nécessaire à l'organisation des cellules des organismes vivants. |
Son interprétation dans l'avenir Up Page Changement de paradigme Une nouvelle culture d'entreprise Chef d'entreprise pendant vingt ans en Europe, en Amérique et en Asie, Wolgang Berger a été professeur d'économie pendant neuf ans en Allemagne et aux Etats-Unis. Il fut également DRH ou membre de Conseil de surveillance dans l'hôtellerie. En 1992, il fait partie des initiateurs du premier Master of Business Management (MBA) impliquant des multinationales européennes. Puis il décide de créer son institut: Business Refraiming. Le principe: développer un concept de management basé sur les découvertes du Pr Popp en matière de transport en d'exploitation de l'information. Comment ? Voici quelques bases de sa méthode: 1) La hiérarchie n'est plus une marque de puissance, elle est une structure d'appui. 2) Le changement ne doit plus être la conséquence de la pression hiérarchique. Il doit provenir de la liberté laissé aux employés. 3) Les contraintes doivent être sources de perspectives et non de stress. 4) Le travail doit avoir pour but, avant tout, la réalisation d'un objectif et non le gain financier. 5) Le management traditionnel combat les problèmes alors que le management proposé ne travaille pas sur la base d'actions, mais à partir du concept de résonance: l'intégralité, l'engagement et la contrainte permettent à l'ensemble de l'entreprise de vibrer sur une même fréquence. 6) La réussite n'est plus subordonnée à la contrainte: ce sont le personnel et l'équipe managériale qui créent ensemble les conditions de cette réussite. Utopiste ou réaliste ? Pour les clients de W. Berger, la question ne se pose plus: certaines entreprises ont quintuplé leur chiffre d'affaire grâce à cette méthode. |
Les références Up Page Réseau Pepe Nexus novembre / décembre 2006 n°47 Pourquoi ce site Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous. Contribuer au Réseau Pepe Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer. Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil). |
Mais encore … Up Page L'intention comme paramètre Résumons-nous: des cellules, un groupe de personnes, et pour finir une entreprise fonctionnent sur le mode de réseau. La prochaine étape pourrait être un pays, voire ... l'humanité entière. C'est en tout cas l'hypothèse sur laquelle travaille, depuis 1998, une équipe de chercheurs bénévoles. Nom du projet: Global Consciousness Project. Comment ça marche ? Ces chercheurs utilisent des générateurs électroniques de nombres randomisés (RNG). Ces appareils permettent de produire des séquences de bits - des suites de 0 et de 1 - avec le maximum d'entropie possible. L'entropie étant le dégré de désordre dans un système. Bien que contro-versé, le fait est qu'en présence de personnes affectées sur le plan émotionnel, ces appareils ont pu produire, pour des raisons encore non élucidées, des séquences s'éloignant sensiblement des prévisions théoriques. En s'autres termes, la conscience, l'intention émotionnelle des personnes impliquées aurait eu une influence sur la production de ces séquences. La noosphère Or, Pierre Theilhard de Chardin (1881-1955), géologue et paléontologue de renommée internationale pour avoir été l'un des premier à présenter une Histoire de l'univers telle qu'elle est actuellement reconnue par la communauté scientifique, a le premier développé le concept de noosphère. La noosphère correspond à l'ensemble des consciences de la planète qui, réunies, formeraient un tout. Une sorte d'atmosphère de pensées. La vague de compassion mondiale suite aux funérailles de Lady Diana a été l'un des premiers événements d'ampleur mondiale à avoir été suivi et analysé. Ceci sur la base de données standardisées: 200 bits par seconde 7j/7, pendant des mois, voire sur des années, centralisée dans les locaux de l'université de Princeton aux Etats-Unis (l'université en tant que telle n'a aucun lien avec le projet). Toutefois, Roger Nelson, responsable du projet, reste objectif sur les statistiques: "Il est trop facile de se focaliser sur certains paramètres qui corroborent nos attentes et d'ignorer les faits qui vont dans le sens contraire. Que nous ayons des corrélations de déviations statistiques sur des événements porteurs de sens, est un fait, mais il est évident qu'une corrélation ne signifie pas rapport de cause à effet, et encore moins preuve." |