Lune,
artéfact artificiel
La petite histoire
Comprendre simplement
Domaines de présence
Son interprétation dans l'avenir
Les références
Mais encore …
by Pepe ©
 
Accueil  Arborescence  Page précédente

La petite histoire  Up Page
Origine, raisons, hasard
"Si je comptabilise, au 1erjanvier 2007, le nombre de planètes dans notre système solaire (9), ainsi que le nombre total de satellites (156), je reste perplexe lorsque les scientifiques m'affirment que la Lune est le seul satellite présentant la même face à la Terre. En résumé: la Lune est le seul satellite ayant une durée de révolution égale à la durée de rotation de sa planète ..." Philippe Lopes

Comprendre simplement  Up Page
La Lune serait creuse
Le satellite Vanguard donnentn à croire que notre satellite est presque aussi creux que s'il était artificiel et, en tout cas, beaucoup moins dense à l'intérieur qu'à l'extérieur, certains astronomes l'expliquent par le martèlement des météorites sur la surface, qui aurait donné à l'astre poreux une carapace plus compacte.

Domaines de présence  Up Page
Une ancienne planète
Le professeur Nicolas Bonev, astronome et professeur à l'université de Sofia, prétend que la Lune était autrefois une planète du système solaire, assez proche de la Terre. Des éruptions volcaniques d'une force extraordinaire l'ont décrochée de son orbite (la Lune transformée, en quelque sorte en fusée) et s'est décrochée de la Terre, dont elle est devenue la satellite.
A l'appui de cette théorie, le, professeur Benev fait valoir qu'aucun corps céleste n'a, à sa surface, autant de cratères que la Lune.
Autres arguments: aucun satellite connu n'a une masse aussi considérable (par rapport au corps central). La période de révolution de la Lune dépasse de loin la période de rotation de la Terre autour de son axe. Enfin, la Lune est un satellite "peu sûr": il suffirait que la Terre s'arrête pour quelques instants dans sa course autour du Soleil, pour que la Lune s'en détache et reprenne une existence indépendante.
 
Origine de la Lune
Deux théories s'affrontent en réalité sur l'origine de la Lune: ou bien ce serait une petite soeur de la Terre née parallèlement à nous par contraction d'une nébuleuse commune; ou bien elle aurait été arachée à notre planète sous les effets conjugués de la force centrifuge et de l'attraction solaire. La seconde théorie semble l'emporter, mais elle comporte deux sous-théories.
Ou bien cette, expulsion serait due à un phénomène vibratoire, théorie soutenue par George Darwin, le propre fils de l'évolutionniste; on pense que les jour terrestres étaient de quatre heures il y a quelques milliards d'années, la Terre tournant très vite; les marées solaires se reproduisant donc toutes les deux heures, le phénomène s'amplifia irrésistiblement par un hasard harmonique pendant cinq cents ans et l'équateur projeta dans l'espace la matière de la Lune _ ce qui du reste ne se justifie mathématiquement que si l'on remonte à l'époque où la Terre était à peu près uniquement composée de gaz.
Ou bien la théorie de Henri Poincaré, qui insiste surtout sur la déformation de toute sphère fluide tournant très vite: "A un certain degré d'intensité de la force centrifuge, ce renflement devient une hernie, et il est finalement expulsé tangentiellement sous l'aspect d'un corps distinct, indépendant, plus petit." Les phases de l'évolution de la Lune ont été calculées avec précision: elle accomplissait jadis sa révolution autour de la Terre à 4 800 km (au lieu de 385 000 actuellement) au quatre heures, les deux planètes ayant toujours la même face tournée l'une vers l'autre.
Puis la Lune s'écarta paradoxalement sous l'effet de la gravitation: la Terre tournant d'est en ouest, très vite, les maxima des marées étaient toujours en avance vers l'est, par rapport à la droite imaginaire qui joint les centres des deux corps. Résultat: la Lune s'en trouvait précipitée de plus en plus vers l'est, de plus en plus en avance sur son mouvement de rotation autour de nous, à la recherche d'une position d'équilibre qu'elle trouva de plus en plus loin. En même temps, les marées d'origine terrestre freinant la rotation de la Lune sur elle-même jusqu'à la situation actuelle où elle conserve toujours la même facé tournée vers nous. Ce qui a pour effet, bien entendu, de la déformer: la face que nous voyons d'elle est de 900 mètres plus enflée que l'autre côté. Inversement, les marées lunaires freinaient notre rotation jusqu'à la vitesse actuelle: 24 heures environ.
 
Cet éloignement progressif, a calculé Darwin, doit continuer jusqu'au moment où nos mois ferons 55 jours au lieu de 30. Alors notre rotation autour de notre axe sera, elle aussi, tellement ralentie que nous aurons à nouveau toujours la même fâce tournée vers la Lune; nous jours égaleront les mois: 55 jours (les jours rallongent  en ce moment même d'un millième de seconde par siècle); les marées lunaires cesseront, puisque la même partie de la Terre sera toujours uniformément attirée; la Terre et la Lune tourneront très lentement l'une autour de l'autre: cela devrait se produire entre 10 et 50 milliards d'années d'ici !
Et puis les marées cessant, la Lune sera à nouveau pleinement soumise à l'attarction terrestre. Elle se rapprochera de nous; les marées lunaires recommenceront, mais en sens inverse, retardant au lieu d'avancer, et attirant encore plus la Lune vers nous. Jusqu'à, peut-être, une fusion finale.
A mois qu'entre temps (des astronomes parmi les plus sérieux y ont également pensé), la Terre ne projette dans l'espace un second satellite, selon la même méthode que pour le premier _ et l'on pense fortement à l'Amérique dans ce cas-là _ ce qui, évidemment, changerait tout.

Son interprétation dans l'avenir  Up Page
Lueurs étranges sur la Lune
Flagstaff (Arizona) le soir du 29 octobre 1963, peu avant la tombée de la nuit, deux astronomes de l'Observatoire Lowell, James A. Greenacre et Edward Barr, examinèrent la région tourmentée des cratères Hérodote et Aristaque et de la grande crevasse sinueuse au fond large et plat appelée vallée de Schröter.
C'est là, à 24° de latitude Est, 48° de longitude Ouest qu'ils observèrent trois lueurs, dans la région d'Aristaque. Le cirque d'Aristaque, reconnaissable à ses gradins, mesure 43 km de diamètre. A gauche, légèrement plus bas, le cirque d'Hérodote, aussi large mais moins profond. La vallée de Schröter part de ce cirque, s'étendant vers le haut et s'infléchissant sur la gauche. L'élargissement qu'on observe vers le premier tiers de la vallée s'appelle la "Tête de Cobra". Aristaque est un des endroits les plus brillants de la surface lunaire observable.

Les références  Up Page
Réseau Pepe
Grandes énigmes de l'astronomie Jean Charon Encyclopédie Planète
Science & Vie juin 1961 n°525
Science & Vie juillet 1961 n°526
Science & Vie avril 1964 n°559
Science & Vie mars 1970 n°630
 
Pourquoi ce site
Je crois que, si les êtres humains que nous sommes ne parviennent pas toujours à évoluer comme ils le souhaiteraient _à s'épanouir professionnellement, sentimentalement et sexuellement (ce que j'appelle les trois pôles d'intérêts) c'est parce qu'il y a des barrages qui entravent leur désir d'accéder à un rêve inachevé. Je pars du principe que tout est possible, à condition de s'entourer de gens qui nous poussent à croire en nous.
 
Contribuer au Réseau Pepe
Ce site est avant tout une encyclopédie ouverte à l'imagination et au savoir, où chacun(e) d'entre vous peut participer.
Si vous avez envie de partager une passion, ou si vous sentez le besoin de vous exprimer sur un point précis, je vous invite à m'adresser un e-mail (adresse électronique accessible sur ma page d'accueil).

Mais encore …  Up Page
Cratères en surnombre
Mariner 4 a montré la surface de Mars constellée de milliers de cratères de dimensions énormes. Ce champ de bombardement planétaire est si général que la seule explication météoritique devient insuffisante.
S'il est possible d'imaginer des météorites d'antimatière, d'une masse située entre quelques kilos et quelques dizaines de kilo chaque mille ans tombant sur la Lune et sur Mars, cela suffirait largement à rendre compte de l'éta observé.
 
Plus âgée que la Terre
L'âge des spécimens est fortement contreversé. Pour certains, il irait jusqu'à 5 milliards d'années, pour d'autres, il n'excéderait pas 3 milliards 650 millions. Ces hypothèses ont été étayées après les expéditions d'Apollo 11 et d'Apollo 12 au cours de mars 1970, et 300 expériences menées par 142 équipes différentes et un total de 147 rapports.