11 septembre 2001: Témoignages concordants
Michael Moore
Crash du Pentagone inexistant
William Rodriguez
David Ray Griffin
Les références
Point de vue de Sharon Stone
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La petite histoire Up Page
Michael Moore
Lecteur de la première heure des ouvrages de Thierry Meyssan, le réalisateur états-unien Michael Moore s’était longtemps abstenu de parler publiquement des incohérences de la version officielle du 11 septembre. Son avant-dernier film, Fahrenheit 911, qui évoquait cependant les relations étroites qu’entretenaient les familles Bush et Ben Laden par le Carlyle Group, se concentrait principalement sur les États-Unis de l’après 11 septembre et des dérives autoritaires de l’administration Bush, de la promulgation de l’USA Patrioct Act aux horreurs de la guerre en Irak. Tout cela servait de base à l’argumentaire démocrate avant les élections de novembre 2004. Depuis, sa réflexion sur le sujet semble avoir évolué:

"Depuis Fahrenheit 911, j’ai discuté avec pas mal de pompiers qui m’ont confirmé qu’ils avaient entendu des explosions avant l’effondrement des tours et qui pensent qu’il y a beaucoup plus de choses à creuser dans cette histoire", explique-il.
Comprendre simplement Up Page
Crash du Pentagone inexistant
En tant que réalisateur, Michael Moore est particulièrement sensible au manque d’images de l’attentat au Pentagone. Ce, malgré les centaines de caméras de sécurité filmant en permanence l’une des institutions les plus surveillées au monde:

"Laissez moi juste vous dire quelque chose que je me demande depuis longtemps. J’ai filmé le Pentagone avant le 11 septembre. Il y a des centaines de caméras installées sur les bâtiments, les arbres. Ils avaient la possibilité de filmer l’arrivée de cet avion sous cent angles différents. Comment cela se fait-il qu’on ne peut pas voir ce crash du début à la fin ? Je veux voir ces centaines de vidéos qui existent de cet événement. Pourquoi ne peut-on pas voir cet avion arriver sur les bâtiments du Pentagone ?"
Domaines de présence Up Page
William Rodriguez
Le 24 et 25 mai 2005, eu lieu à Paris (Salon de l'Averyon, 17 rue de l'Aubrac, 75012 Paris, Métro Saint-Emilion), deux débats orchestrés par "Jimmy Walter", journaliste américain, venu promouvoir son film-reportage "Confronting The Evidence". Le premier jour se tenaient William Rodriguez, Christopher Ballyn, Jimmy Walter, Thierry Meyssan et Eric Hufscmid. Le deuxième jour, le 25 mai donc, se tenaient Philip Bera, Rachel Hughes, Lisa Pease, Thierry Meyssan, Barrie Swicker, Penny Little, Webster Tarpley et Griffin.

"William Rodriguez était agent de maintenance aux World Trade Center durant vingt ans, lorsque se produit ce prétendu attentat orchestré par Ben Laden. Il nous a affirmé avoir bien entendu des détonations provenant des étages inférieurs. Il a cru en premier que celles-la avaient été dues à la destruction d'un éventuel transformateurs haute-tension installé en sous-sol.
C'est en téléphonant à sa mère à Cuba qu'il apprendra avec stupéfaction que la tour dans laquelle il est, se trouve en feu sur toutes les chaînes du monde. Il ne faillira jamais à son devoir de sauver le maximum de vie. C'est au moment d'évacuer le bâtiment, qu'il entendra une succession d'explosions d'une précision de métronome. Telles celles que les artificiers utilisent de manière à faire effrondrer une tour quasiment parfaitement à la verticale, sans risquer d'endommager les quartiers aux alentours..."

Philippe Lopes, ayant assisté aux deux conférences.

118 membres du Fire Department de New York témoignèrent que des explosifs détonèrent.
Son interprétation dans l'avenir Up Page
David Ray Griffin
Plusieurs caractéristiques des effondrements de ces tours ne peuvent pas être expliquées autrement que par l’utilisation d’explosifs :

1. Ils furent symétriques et parfaitement verticaux, ce qui signifie que chacune des 287 colonnes dans chacune des tours (les 47 énormes colonnes centrales et les 240 colonnes du périmètre) et chacune des 81 colonnes de l’immeuble n°7 durent s’effondrer simultanément. Croire que cela ait pu être causé par les incendies, qui ne s’étaient pas propagés uniformément, dans aucun des bâtiments, est croire à un miracle.

2. Les effondrements furent totaux, chacun des 3 gratte-ciel s’écroulant en un tas de gravas de quelques étages seulement. Ainsi, chacune des colonnes d’acier a dû être coupée en de très nombreux segments, exactement ce à quoi servent les explosifs employés au cours de démolitions commandées.

3. Tout le béton, comme le mobilier, fut pulvérisé en particules de poussières extrêmement fines (les immenses nuages observables). Les incendies et la seule pesanteur n’auraient pu fournir l’énergie nécessaire à cette pulvérisation, loin s’en faut.

4. Au début de l’effondrement de chacune des Tours Jumelles, qui commença près du sommet, des poutrelles d’acier furent éjectées horizontalement jusqu’à 150 m. L’énergie gravitationnelle, verticale, ne peut expliquer ces éjections horizontales impressionnantes.

5. Chacun des 3 immeubles s’effondra à la vitesse de la chute libre ; cela signifie que les étages inférieurs, avec tout l’acier et le béton qui les composaient, n’opposèrent absolument aucune résistance (à la chute des étages supérieurs). M. Cockburn écrit encore : « Le recours à l’hypothèse des charges explosives n’est absolument pas nécessaire pour comprendre la chute accélérée des tours… » Cette assertion est en complète contradiction avec les lois les plus élémentaires de la physique.

6. Pendant plusieurs semaines après les effondrements, des flaques de métal fondu furent trouvées sous chaque bâtiment. L’acier ne commence à fondre qu’à partir de 1 540°C, alors que la température des incendies ne peut pas avoir dépassé les 1 000°C.
L’effondrement de l’immeuble n°7, "non percuté par un avion", reproduit lui-aussi les caractéristiques classiques des démolitions commandées.


David Ray Griffin, éminent universitaire maintenant à la retraite, a enseigné la philosophie des religions à la prestigieuse université de Claremont en Californie. Au cours de sa carrière, il a publié une trentaine de livres, dont le récent 9/11 and American Empire : Intellectuals Speak Out, en collaboration avec Peter Dale Scott (Olive Branch, Northampton, Massachussets, 2006). Il vient de terminer Debunking 9/11 Debunking : An Answer to Popular Mechanics and Other Defenders of the Official Conspiracy Theory qui sera publié en Septembre 2007 aux Editions Demi-Lune, sous le titre 11 Septembre : la faillite des média.
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Dans un entretien accordé à la revue égyptienne Al-Hayat, l’actrice états-unienne Sharon Stone (Oscar de la meilleure actrice 1996) déclare:

"Je n’ai jamais cru l’histoire qui nous a été servie à propos de la destruction des Twin towers le 11 septembre. Je ne crois pas que les guerres menées par les États-Unis en Afghanistan et en Irak étaient le résultat de l’attaque du 11 septembre".